GUILLERMO FERNÁNDEZ BUENO TOMBE AU BOUT D’UNE CAVALE DE 8 JOURS
Fin de cavale pour Guillermo Fernández Bueno, qui s'est échappé de la prison d'El Dueso (Espagne) avec sa petite-amie. La police sénégalaise a, en effet, mis la main sur cet homme extrêmement dangereux et activement recherché par la justice espagnole, depuis le 22 juillet. Un mandat d’arrêt international avait été lancé par la justice espagnole pour arrêter Guillermo Fernandez Bueno. C’est désormais chose faite.
L’Espagnol Guillermo Fernández Bueno et sa petite-amie, une éducatrice sociale qu'il a rencontrée en prison sont tombés. Et il faut dire que c’est un très grand danger qui a été épargné à toutes les Sénégalaises qui auraient pu être sur le chemin de ce maniaque sexuel, condamné à plusieurs reprises pour viol et meurtre.
Le fugitif, sous le coup d’un mandat d’arrêt, a été capturé, avec sa copine, alors qu'ils tentaient de franchir la frontière entre le Sénégal et la Gambie. Guillermo avait un faux passeport, selon notre source, qui précise que le fugitif avait réussi à traverser le Maroc et la Mauritanie. «La coopération internationale génère une confiance réciproque. C’est ce qui a permis cette arrestation en un temps record», a déclaré le ministre de l'Intérieur Fernando Grande-Marlaska, affirmant que «cela n'aurait pas été possible, il y a quelques années». Poursuivant, l’officiel espagnol a fait part des intentions de son pays de «renforcer davantage» cette collaboration avec les pays africains du Sahel et du Maghreb.
Guillermo Fernandez Bueno était sous le coup d’un mandat d’arrêt international
Guillermo Fernandez Bueno était activement recherché par la police espagnole qui l’avait mis sous le coup d’un mandat d’arrêt international depuis qu'il a disparu le 22 juillet, date à laquelle il devait retourner à la prison de Santander, après avoir bénéficié d’un permission de sept jours pour séjourner hors du lieu de détention.
Il avait été condamné pour viol et assassinat d’une servante
Fernández Bueno purgeait une peine de neuf ans à la prison de Dueso, pour avoir violé et assassiné une servante dans une cafétéria de Vitoria, en 2000. Il a également été condamné à neuf ans de prison pour une autre agression sexuelle commise auparavant.
Après son évasion, la prison de Santander, aidée par tous les démembrements de la police espagnole, avait lancé une véritable chasse à l’homme pour tenter de capturer cet homme dangereux. Mais, après plusieurs jours de recherche sans résultat, les pandores ont pensé à la possibilité que l’homme ait quitté le pays. C’est ainsi que jeudi dernier, un mandat d'arrêt international a été lancé, à la suite duquel la collaboration des forces de sécurité d'autres pays a été demandée.
Selon l’administration pénitentiaire de son pays, en 17 ans de prison, Fernández Bueno a terminé presque tous les programmes de réintégration, en commençant par la «Thérapie pour délinquants sexuels». Condamné à 36 ans, il a commencé à jouir des permis de sortie de prison en 2012. Il avait quitté «40 fois la prison» avant le dernier permis, selon des sources carcérales, citées par la presse espagnole. Il revenait toujours. Ce n’est que lorsqu’il a refusé de retourner en prison il y a deux semaines que les alarmes se sont déclenchées.
Sidy Djimby NDAO
Fin de cavale pour Guillermo Fernández Bueno, qui s'est échappé de la prison d'El Dueso (Espagne) avec sa petite-amie. La police sénégalaise a, en effet, mis la main sur cet homme extrêmement dangereux et activement recherché par la justice espagnole, depuis le 22 juillet. Un mandat d’arrêt international avait été lancé par la justice espagnole pour arrêter Guillermo Fernandez Bueno. C’est désormais chose faite.
L’Espagnol Guillermo Fernández Bueno et sa petite-amie, une éducatrice sociale qu'il a rencontrée en prison sont tombés. Et il faut dire que c’est un très grand danger qui a été épargné à toutes les Sénégalaises qui auraient pu être sur le chemin de ce maniaque sexuel, condamné à plusieurs reprises pour viol et meurtre.
Le fugitif, sous le coup d’un mandat d’arrêt, a été capturé, avec sa copine, alors qu'ils tentaient de franchir la frontière entre le Sénégal et la Gambie. Guillermo avait un faux passeport, selon notre source, qui précise que le fugitif avait réussi à traverser le Maroc et la Mauritanie. «La coopération internationale génère une confiance réciproque. C’est ce qui a permis cette arrestation en un temps record», a déclaré le ministre de l'Intérieur Fernando Grande-Marlaska, affirmant que «cela n'aurait pas été possible, il y a quelques années». Poursuivant, l’officiel espagnol a fait part des intentions de son pays de «renforcer davantage» cette collaboration avec les pays africains du Sahel et du Maghreb.
Guillermo Fernandez Bueno était sous le coup d’un mandat d’arrêt international
Guillermo Fernandez Bueno était activement recherché par la police espagnole qui l’avait mis sous le coup d’un mandat d’arrêt international depuis qu'il a disparu le 22 juillet, date à laquelle il devait retourner à la prison de Santander, après avoir bénéficié d’un permission de sept jours pour séjourner hors du lieu de détention.
Il avait été condamné pour viol et assassinat d’une servante
Fernández Bueno purgeait une peine de neuf ans à la prison de Dueso, pour avoir violé et assassiné une servante dans une cafétéria de Vitoria, en 2000. Il a également été condamné à neuf ans de prison pour une autre agression sexuelle commise auparavant.
Après son évasion, la prison de Santander, aidée par tous les démembrements de la police espagnole, avait lancé une véritable chasse à l’homme pour tenter de capturer cet homme dangereux. Mais, après plusieurs jours de recherche sans résultat, les pandores ont pensé à la possibilité que l’homme ait quitté le pays. C’est ainsi que jeudi dernier, un mandat d'arrêt international a été lancé, à la suite duquel la collaboration des forces de sécurité d'autres pays a été demandée.
Selon l’administration pénitentiaire de son pays, en 17 ans de prison, Fernández Bueno a terminé presque tous les programmes de réintégration, en commençant par la «Thérapie pour délinquants sexuels». Condamné à 36 ans, il a commencé à jouir des permis de sortie de prison en 2012. Il avait quitté «40 fois la prison» avant le dernier permis, selon des sources carcérales, citées par la presse espagnole. Il revenait toujours. Ce n’est que lorsqu’il a refusé de retourner en prison il y a deux semaines que les alarmes se sont déclenchées.
Sidy Djimby NDAO
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