
Une décision qui a certainement surpris les travailleurs du site internet. Conséquence : hier, dans l’après-midi, ils ont présenté leurs plates excuses au ministre du Tourisme en reconnaissant leur erreur et en avouant qu’ils n’ont pas pris le soin de vérifier cette fausse rumeur qu’ils avaient reçue. Mais, sûr qu’ils n’ont aucune chance d’être pardonnés à cause de l’extrême gravité de ce qu’ils ont fait.