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HARO SUR LES GROSSESSES PRECOCES A SEDHIOU ET ZIGUINCHOR: Les filles qui tombent en grossesse sont âgées entre 14 et 16 ans



HARO SUR LES GROSSESSES PRECOCES A SEDHIOU ET ZIGUINCHOR: Les filles qui tombent en grossesse sont âgées entre 14 et 16 ans
 
La grossesse précoce est devenue très fréquente chez les filles qui sont âgées entre 14 et 16 ans. Dans la région de Sédhiou et Ziguinchor, le phénomène est à l’origine de la déperdition scolaire de jeunes filles qui, souvent, mettent définitivement un terme à leur cursus scolaire après avoir enfanté. D’où l’appel des associations de femmes pour la sensibilisation de cette frange très «fragile».
 
 Le constat est unanime et partagé par les différentes associations féminines de Ziguinchor et Sédhiou, qui déplorent la fréquence de grossesses chez les filles qui n’ont pas l’âge de porter un enfant.
Face à cette situation, selon ces associations qui se penchaient hier sur la question, il faut renforcer la protection de cette couche vulnérable de la société. Mais aussi, à travers les mesures de prévention, impliquer les filles elles-mêmes. «Il y a des dispositions judiciaires qui sont prises à l’encontre des auteurs de ces grossesses. Mais, parfois, on a l’impression que les parents préfèrent résoudre le problème en famille que de traduire en justice l’auteur de la grossesse», déplore Binta Kandji de l’association pour la protection des enfants. Qui ajoute : «ce qui est malheureux et déplorable dans tout cela, c’est qu’à Sédhiou et à Ziguinchor, ce sont les deux régions qui occupent la tête du peloton au niveau national, en ce qui concerne le taux le plus élève de grossesses précoces».
«Pour preuve, c’est dans ces deux régions que l’on trouve des filles qui sont âgées entre 14 et 16 ans qui tombent en état de grossesse», analyse-t-elle. Et ce qui est grave, poursuit-elle, «les auteurs sont souvent de proches parents. Ce qui fait que l’affaire n’est pas portée devant la justice. Les parents préfèrent passer sous silence le problème. Ceci, pour éviter la prison à l’auteur qui n’est autre qu’un cousin ou proche».
Les associations qui excellent dans la protection des enfants pensent qu’il faut mener une campagne de sensibilisation auprès des filles et leurs parents. Mais, ces associations évoquent un problème de comportement au niveau des filles. «Il y a un problème de comportement. De ce fait, il faut renforcer le dispositif de protection des enfants à travers des mesures de prévention au niveau du tissu familial, et social de manière générale, en impliquant le système éducatif où évoluent la plupart des filles», affirme Fatou Sall. Qui suggère : «à Sédhiou tout comme à Ziguinchor, il faut l’installation d’un dispositif de prévention sécuritaire, aussi bien au niveau des établissements scolaires qu’au niveau des parents d’élèves.
«Notre rôle est de protéger les enfants, surtout les jeunes filles victimes de grossesses précoces. Nous sommes des acteurs étatiques qui travaillons pour une meilleure protection de ces dernières. Mais, on ne peut pas mener correctement notre travail sans l’implication totale et sans faille des parents», dit-elle.
Certes, chaque parent ne peut pas être derrière son enfant, reconnaissent ces dames, n’empêche, la sensibilisation doit être menée par ces derniers pour réduire de manière sensible les grossesses précoces dans les deux régions.
 Ahmet COLY
 

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