Lui aussi a donné sa part de vérité, dans le cadre de cette affaire de viol ; trois agressions perpétrées sur trois femmes au cours de la même nuit au domicile du Franco-Sénégalais. Même s’il admet dans un entretien accordé à Jeune Afrique avoir reçu chez lui trois des plaignantes : deux Marocaines : une Marocaine âgée de 39 ans et une autre d’une vingtaine d’années, ainsi qu’une Nigériane, il balaie les accusations d’avoir entretenu des relations sexuelles avec les victimes et le viol. « Je n’ai jamais été seul avec elles», a commencé par se défendre l’ancien patron de Wari.
Kabirou Mbodje sort du bois (bis)
Avant d’expliquer : «l’ami qui me les a présentées est parti alors que les deux premières avaient déjà quitté l’appartement. Quant à mon amie russe, elle a dormi chez moi», dit-il. Et Kabirou Mbodje de dénoncer «un complot » qui lui cause énormément de tort. «J’espère que l’enquête le démontrera : je suis un homme honnête, sans histoire et qui ne fait du tort à personne. Je suis une victime», a laissé entendre l’homme d’affaires.