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Samedi 14 Juin
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Vote de la loi de finance rectificative: Abdoulaye Daouda Diallo solde ses comptes et écarte tout ajustement structurel



Vote de la loi de finance rectificative: Abdoulaye Daouda Diallo solde ses comptes et écarte tout ajustement structurel
Contrairement aux députés de l’opposition qui ont peint un tableau sombre de l’économie sénégalaise, sous la menace d’un ajustement structurel, Abdoulaye Daouda Diallo révèle qu’il n’en est rien. A l’en croire, le Sénégal a dépassé l’ajustement structurel, eu égard à son taux de croissance, son niveau d’endettement…  
 
 
 
A la suite de l’intervention de 86 députés lors des débats du vote de la Loi de finances rectificative, le ministre des Finances et du Budget est revenu sur les différentes interpellations des parlementaires. Ainsi, après avoir rappelé les raisons de cette Lfr, le ministre a décidé d’évacuer le débat autour de l’affaire Aliou Sall. A l’en croire, le premier baril ne sera pompé qu’en 2022. C’est pourquoi, dit-il, il ne comprend pas cette propension de certains à avancer des chiffres et des milliards qui auraient été distribués. Pour clore le débat, il renvoie les acteurs devant les enquêteurs de la Dic. «Concernant Petro-Tim, le dossier est en justice, si vous avez des documents, vous feriez mieux de déférer devant les enquêteurs», tranche le ministre des Finances. Revenant sur la hausse du carburant, Abdoulaye Daouda Diallo révèle que le gouvernement a décidé de n’augmenter que les prix à la pompe du super et du gasoil. Une situation qui découle, dit-il, de la hausse du prix du baril du pétrole. Cependant, il ne manque pas de faire le parallélisme entre le prix en 2012 et les prix actuels. «Jusqu’à présent, on n’a pas atteint les chiffres de 2012. A notre arrivée, nous avons baissé les prix de toutes les denrées et jusqu’à présent, ces prix sont restés stables», rappelle-t-il. C’est pourquoi, au lieu 825 francs le litre du supercarburant, le gouvernement l’a baissé à 775. Poursuivant, il révèle que le gouvernement travaille à réduire toutes ses dépenses de carburant, d’eau, d’électricité, de téléphone de l’administration. Et dans les prochaines semaines, le gouvernement va proposer des décisions qui seront de nature à baisser davantage le fonctionnement de l’Etat de façon générale.
 
 
 
Encouragements à l’administration fiscale
 
 
Contrairement à son ancien collègue inspecteur des impôts, Ousmane Sonko, qui peint un tableau sombre de l’administration fiscale, le ministre Abdoulaye Daouda Diallo est d’avis que les performances qui sont notées par l’administration fiscale méritent des encouragements. A cet effet, il a invité le patron de Pastef à se rapprocher de ses services pour se rendre compte du grand bond réalisé. Concernant les exonérations fiscales décriées par Ousmane Sonko, le ministre de rappeler que des efforts subséquents ont été faits. Poursuivant, il révèle que la croissance n’est pas conjoncturelle et ne peut être conjoncturelle. «On ne peut pas plus de cinq années consécutivement avoir un taux de croissance qui tourne autour de 6% et plus et parler de croissance conjoncturelle. La conjoncture est croissance en dents de scie. Nous sommes dans une croissance continue».
 
 
Le Sénégal a dépassé et ne connaitra plus l’ajustement structurel
 
Comparaison pour comparaison, le ministre des Finances évalue les investissements du Président Macky Sall à 1334 milliards en sept ans contre 508 milliards pour le régime de Me Wade. Dans la foulée, il a battu en brèche l’ajustement structurel théorisé par certains députés. «L’ajustement structurel répond à trois éléments : taux de croissance, déséquilibre et endettement. Le Sénégal a dépassé l’ajustement structurel. Le pays ne peut plus connaitre d’ajustement structurel», indique Abdoulaye Daouda Diallo. Car le taux de croissance a augmenté pour être passé de 1,8% à près de 7%, l’inflation est admise à hauteur de 3% et le Sénégal est à 2%. En plus du taux d’endettement du Sénégal qui est faible», souligne-t-il, avant d’inviter l’auteur de ce discours, Nango Seck, à chasser ce mot de son jargon.
 
 
 
Le régime de Wade fait perdre 102 milliards
 
Revenant sur la dette, il révèle que le Sénégal est à 7261 milliards de dette, avant de sérier la part de chaque régime. L’Etat continue de payer la dette du régime socialiste à hauteur de 158 milliards, contractés lors du barrage de Diama et qui sera épuisé en 2026. Le régime de Wade a 1887 milliards de cette dette. Une dette que l’Etat est obligé de payer. Le ministre est aussi revenu sur le contentieux Arcelor Mittal hérité du régime de Wade. Et, c’est pour révéler que, de ce contentieux, Arcelor Mittal a porté plainte contre l’Etat du Sénégal. Mieux, cette entreprise, se désole-t-il, n’a pas fait l’exploitation et pourtant, elle est partie et a été payée à hauteur de 102 milliards francs Cfa en guise d’acte de frais de contentieux. En dépit de cette perte pour le Sénégal, il révèle que l’Etat a recouvré 153 milliards francs Cfa sur les affaires Dubaï Port World, Millicom, Sonacos, entre autres. 
 


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