La première édition du Salon international du livre de la jeunesse et pour enfants de Dakar, dénommé ‘’Dakar-livres’’, ouverte, mercredi, au centre culturel régional Blaise Senghor, est une preuve que les jeunes lisent et écrivent, a affirmé son délégué général Alassane Cissé. ‘’De Dakar, à Saint-Louis en passant par Ziguinchor, Diourbel, Thiès, dans toutes les capitales régionales, il y a des jeunes qui écrivent, publient des livres édités par les maisons d’éditions. Si les jeunes écrivent cela veut dire qu’ils lisent », a-t-il déclaré.
M. Cissé estime qu’il faut relativiser l’idée selon laquelle les jeunes ne lisent plus.
‘’Ce sont des jugements de valeurs. Il faut relativiser. Il y a certes des jeunes des réseaux sociaux, mais il y a aussi une jeunesse créative et productive’’, a t-il soutenu.
Le Salon international du livre de la jeunesse et pour enfants de Dakar expose plus d’une soixantaine de jeunes auteurs venus des régions notamment de Louga, Thiès (département de Tivaoune), Saint-Louis, Casamance.
La jeune auteure Ramatoulaye Faye a plaidé pour la vulgarisation des livres, s’appuyant sur leur importance, surtout que »le livre nourrit l’esprit’’.
Certains éditeurs et auteurs dont les stands sont déjà dressés dans l’arrière-cour du centre culturel viennent d’Afrique, précisément de la Tunisie, de la Côte d’Ivoire, du Bénin, du Mali et de la République de Guinée.
Le Salon organisé par la maison d’édition ‘’Baobab’’ en partenariat avec l’Association sénégalaise des éditeurs (ASE) et l’Association des écrivains du Sénégal vise à contribuer à la diffusion d’ouvrages de jeunesse et pour enfants et à la promotion de la lecture chez cette frange.
Venu représenter le ministre de la Culture et du Patrimoine historique, le directeur du livre et de la lecture Ibrahima Lo a encouragé les promoteurs de ce salon à inscrire cette initiative dans la durée.
‘’Je vous encourage à vous inscrire dans le sillage de cette littérature de jeunesse pas simple parce qu’il faut beaucoup d’investissement. Le ministère est là pour encourager les initiatives privées’’, a-t-il déclaré.
Il a remis un chèque de deux millions de francs Cfa à l’auteure Ramatoulaye Faye pour son plaidoyer en faveur du livre.
Cette première édition prévue jusqu’à samedi inscrit dans son programme des ateliers d’écriture et illustrations, des séances de lecture et de dédicace, des panels dont l’un est axé sur le dialogue intergénérationnel avec des auteurs confirmés et des jeunes écrivains.
aps
M. Cissé estime qu’il faut relativiser l’idée selon laquelle les jeunes ne lisent plus.
‘’Ce sont des jugements de valeurs. Il faut relativiser. Il y a certes des jeunes des réseaux sociaux, mais il y a aussi une jeunesse créative et productive’’, a t-il soutenu.
Le Salon international du livre de la jeunesse et pour enfants de Dakar expose plus d’une soixantaine de jeunes auteurs venus des régions notamment de Louga, Thiès (département de Tivaoune), Saint-Louis, Casamance.
La jeune auteure Ramatoulaye Faye a plaidé pour la vulgarisation des livres, s’appuyant sur leur importance, surtout que »le livre nourrit l’esprit’’.
Certains éditeurs et auteurs dont les stands sont déjà dressés dans l’arrière-cour du centre culturel viennent d’Afrique, précisément de la Tunisie, de la Côte d’Ivoire, du Bénin, du Mali et de la République de Guinée.
Le Salon organisé par la maison d’édition ‘’Baobab’’ en partenariat avec l’Association sénégalaise des éditeurs (ASE) et l’Association des écrivains du Sénégal vise à contribuer à la diffusion d’ouvrages de jeunesse et pour enfants et à la promotion de la lecture chez cette frange.
Venu représenter le ministre de la Culture et du Patrimoine historique, le directeur du livre et de la lecture Ibrahima Lo a encouragé les promoteurs de ce salon à inscrire cette initiative dans la durée.
‘’Je vous encourage à vous inscrire dans le sillage de cette littérature de jeunesse pas simple parce qu’il faut beaucoup d’investissement. Le ministère est là pour encourager les initiatives privées’’, a-t-il déclaré.
Il a remis un chèque de deux millions de francs Cfa à l’auteure Ramatoulaye Faye pour son plaidoyer en faveur du livre.
Cette première édition prévue jusqu’à samedi inscrit dans son programme des ateliers d’écriture et illustrations, des séances de lecture et de dédicace, des panels dont l’un est axé sur le dialogue intergénérationnel avec des auteurs confirmés et des jeunes écrivains.
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