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ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR : Le Saes dénonce le «mépris» du ministre Abdourahmane Diouf et pointe un risque de paralysie



ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR : Le Saes dénonce le «mépris» du ministre Abdourahmane Diouf et pointe un risque de paralysie

 
 
 
La question du «décret perdu» qui cristallise déjà les tensions dans l’enseignement supérieur va-t-elle exploser les universités sénégalaises ? En tout cas, le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) hausse le ton face au ministre de l’Enseignement supérieur, Dr Abdourahmane Diouf, qu’il accuse de mépriser les revendications des enseignants-chercheurs. Dans un communiqué publié durant le weekend, le syndicat fustige l’attitude du ministre, qu’il accuse de privilégier les «shows politico-médiatiques» au détriment de négociations sérieuses.
 
 
 
Alors que les menaces fusent de presque toutes les centrales syndicales, le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) accuse le ministre de tutelle de mépriser les revendications des enseignants-chercheurs. Les syndicalistes de l’enseignement supérieur, qui alertent sur un risque de paralysie, haussent ainsi le ton face au ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (Mesri). 
 
 
Un décret «perdu» qui cristallise les tensions
 
 
 
Au cœur du bras de fer se trouve le décret modifiant celui du 23 septembre 2020 portant création d’une allocation spéciale de retraite pour les enseignants-chercheurs. Le Saes rejette catégoriquement les accusations du Mesri, qui lui impute une part de responsabilité dans la «perte» de ce texte réglementaire. Selon le syndicat, le ministre lui-même avait admis dans un précédent communiqué que le décret s’était «mystérieusement volatilisé dans les méandres de l’administration». «Quel ministre croire ?», s’interroge le Saes, qui estime qu’il est «inconcevable» qu’il puisse être tenu responsable de la disparition d’un décret qu’il n’a jamais eu à présenter en Conseil des ministres.
Dans son communiqué, le syndicat rappelle qu’il a été reçu par le Premier ministre le 13 décembre 2024 à la demande du Mesri, qui avait reconnu «ses limites» dans la gestion du dossier. Cette rencontre a donné lieu à un procès-verbal cosigné quatre jours plus tard par le secrétaire général du Gouvernement et celui du Saes. Pour le syndicat, il s’agit d’une preuve que la responsabilité incombe entièrement aux autorités et non aux enseignants du supérieur.
 
Un dialogue rompu, une menace de grève
 
 
 
Le Saes déplore ce qu’il qualifie de «rupture unilatérale du dialogue» par Dr Abdourahmane Diouf, qu’il accuse de se réfugier dans des déclarations publiques au lieu de mener des discussions constructives. Une posture qui, selon le syndicat, met en péril la stabilité du sous-secteur de l’enseignement supérieur.
Le Saes affirme avoir fait preuve de «bonne volonté», mais face au «mépris et au dilatoire» du ministre, il prévient que les perturbations risquent de s’intensifier. Il appelle ainsi les étudiants, leurs parents et l’opinion publique à prendre acte de cette situation et des responsabilités engagées.
 
 
Sidy Djimby NDAO
 
 
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