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SITUATION HOPITAL PRINCIPAL DE DAKAR: Le Syndicat des travailleurs civils dénonce la gestion de la direction



 
Les travailleurs civils de l’hôpital Principal de Dakar étaient en sit-in hier pour dénoncer la gestion de l’administration militaire de la structure hospitalière.
 
 
 
Après des rencontres avec la presse pour dénoncer leurs conditions de travail et la situation de l’hôpital Principal de Dakar, les travailleurs civils sont montés une fois de plus au créneau. Ils ont fait un sit-in hier pour égrener le chapelet de maux dont souffre cette structure hospitalière de référence. Selon Abdoulaye Thiaw, sur les 20 milliards que doit l’Etat du Sénégal aux structures sanitaires, 3 milliards sont dus à l’hôpital Principal. « L’Etat s’était engagé à éponger la dette des hôpitaux qui s’élève à plus de 20 milliards. L’Etat doit à l’hôpital Principal 3 milliards et nous lui demandons de les payer le plus rapidement possible », fait-il savoir.
Toutefois, le Sg du Syndicat des travailleurs civils de l’hôpital Principal de dénigrer la gestion de la direction qu’elle juge douteuse et mauvaise. « La direction n’honore pas correctement les engagements qu’elle a eu à prendre vis-à-vis des fournisseurs. A plusieurs reprises, nous avons posé la transparence, mais avec les marchés ‘’secret défense’’, c’est un flou total, personne ne peut dire exactement quels sont les marchés et à qui on les a donnés, les montants qui ont été facturés. Nos charges sont tellement énormes que la direction peine à assurer le paiement des fournisseurs et ces derniers font des restrictions sur les produits, ce qui impacte gravement l’hôpital Principal ». C’est pourquoi le syndicat demande au président de la République d’intervenir pour, dit-il, sauver l’hôpital. « Nous exigeons que ces problèmes soient résolus le plus rapidement possible parce que cette gestion catastrophique risque d’engager l’hôpital dans une situation pire que celle de l’Ipres. Nous interpellons le président de la République pour qu’il intervienne », fait savoir le Sg du syndicat.
Cependant, sans verser dans la menace envers la direction militaire, Abdoulaye Thiaw annonce une partie de la prochaine étape de la lutte. « Après ce sit-in, nous allons évaluer la réaction, surtout de l’Etat. Si rien n’est fait, nous allons sortir chaque fois qu’il le faudra, même s’il faut barrer la route ; parce que nous préférons mourir que de vivre certaines situations extrêmement difficiles dans nos familles, nos enfants sont renvoyés des écoles, nous n’assurons plus la dépense quotidienne » dit-il.
En effet, il n’a pas manqué d’égrener un long chapelet de maux dont souffre cette structure. « Aujourd’hui, nous sommes confrontés à une situation telle que les malades qui sont hospitalisés dans les services pour recevoir leurs soins sont obligés d’avoir des ordonnances intempestives.  Chaque matin, on leur prescrit des ordonnances pour pouvoir les soigner. Notre laboratoire a des ruptures de réactifs qui sont récurrentes. Les malades préfèrent aller dans les autres structures pour faire leurs examens. Les malades hospitalisés vont dans les laboratoires privés pour faire leurs bilans. En sus de l’hospitalisation, on fait dépenser au pauvre Sénégalais beaucoup d’argent alors que l’hôpital Principal est de niveau 3. Il y a aussi le problème de matériel dans les services, notamment le bloc opératoire ainsi que les ateliers. Il y a une liste de patients très longue qui attendent d’être pris en charge faute de matériel. Des malades qui ont besoin d’opération en urgence restent durant trois semaines avant d’être opérés, parce qu’il n’y a pas de matériel. Nos ambulances ne sont plus en bon état de marche, elles tombent très souvent en panne. Le personnel qui recevait le salaire le 25 de chaque mois, n’a pas encore perçu» dénonce le syndicaliste.
Baye Modou SARR
 
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