Lui aussi, avec la forte pression sur ses épaules a fini par la claquer. Ababacar Mbaye, le Directeur général de l’Office nationale de l’assainissement du Sénégal (Onas) était face à la presse. Et vous savez quoi ? Il dit qu’il y a énormément de choses qui ne leur facilitent pas la tâche parmi ces contraintes :«l’obstruction des canaux par les ordures ménagères, gravats, plastiques, carcasses d'animaux, des branchements clandestins dans les réseaux d'eaux usées et d'eaux pluviales…. L’engorgement des réseaux d’eaux usées par les eaux de pluies, et le problème d'accès des réseaux dans certaines zones, dit-il, retardent les interventions urbanisation non contrôlée. Il y a aussi que «l’aménagement de zone d'habitations dans des bas-fonds obstrue les voies d’eau. Sans compter le dépassement de capacité sur leurs réseaux de certaines zones à urbanisation galopante et les impacts négatifs de certains projets immobiliers qui obstruent les voies d'eau. Invite donc, dit-il, est fait à tous les acteurs, plus particulièrement, les collectivités territoriales à «s’investir dans la sensibilisation, le désensablement des voiries, la gestion des ordures ménagères, la veille et la sécurisation des ouvrages d’assainissement».
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