
Thierno Bocoum exige la libération du journaliste Pape Alé Niang et il ne mâche pas ses mots pour le faire savoir. «Beaucoup de personnes ont mis le focus sur les propos de Pape Alé Niang tout en ignorant les procédures qui l’ont conduit en prison. Ne pas être d’accord avec lui ne peut justifier son emprisonnement. Le désaccord dans la démarche et les propos d’une personne est concevable en démocratie. Cela ne constitue pas un délit d’être différent et d’avoir ses propres convictions sur des faits et actes posés», a-t-il commencé.Il ajoute que le communiqué du procureur de la République en date du 20 décembre dernier révèle une volonté réelle de mettre hors d’Etat de nuire, une voix discordante et finalement dérangeante.
Thierno Bocoum défend Pape Alé(bis)
Pape Alé Niang, à l’en croire, a le droit de décrier cette injustice même si chacun peut avoir une opinion sur ses options. «En réalité, le mandat de dépôt doit être oublié
dans le cadre des délits d’opinion quand la liberté est quasiment la règle dans le cadre des détournements de deniers publics. Humainement, Pape Alé ne mérite pas un tel traitement au moment où des incriminés de faits graves vaquent tranquillement à leurs occupations. Il n’a ni volé, ni tué, ni violé. Il s’est juste exprimé. Comme toute personne, il peut commettre des erreurs et même des fautes professionnelles. Cependant, l’emprisonner et le laisser souffrir au fond de sa cellule n’est pas humainement acceptable pour quelqu’un qui s’est toujours battu pour son pays», a écrit Thierno Bocoum.
Thierno Bocoum défend Pape Alé(bis)
Pape Alé Niang, à l’en croire, a le droit de décrier cette injustice même si chacun peut avoir une opinion sur ses options. «En réalité, le mandat de dépôt doit être oublié
dans le cadre des délits d’opinion quand la liberté est quasiment la règle dans le cadre des détournements de deniers publics. Humainement, Pape Alé ne mérite pas un tel traitement au moment où des incriminés de faits graves vaquent tranquillement à leurs occupations. Il n’a ni volé, ni tué, ni violé. Il s’est juste exprimé. Comme toute personne, il peut commettre des erreurs et même des fautes professionnelles. Cependant, l’emprisonner et le laisser souffrir au fond de sa cellule n’est pas humainement acceptable pour quelqu’un qui s’est toujours battu pour son pays», a écrit Thierno Bocoum.