Après des matchs de poule poussifs, l’équipe nationale du Sénégal affronte l’Ouganda à 19h Gmt (21h locales) au stade International du Caire, ce vendredi, en 8e de finale de la Coupe d’Afrique des nations. Un match à haut risque pour les Lions.
Et maintenant, on va savoir ce que les Lions ont dans le ventre. Après une qualification sans briller mais précieuse (victoires contre la Tanzanie et le Kenya et la défaite face à l’Algérie), l’équipe nationale du Sénégal va croiser le fer avec l’Ouganda ce vendredi. Un match couperet pour se qualifier pour les quarts de finale et affronter le vainqueur de Maroc-Bénin ou bien dire adieu à la compétition. Apathie interdite, et frissons garantis entre Lions et Cranes. Classé deuxième de son groupe, le Sénégal défie donc l’Ouganda, qui a arraché la 2e place du groupe A derrière l’Égypte. Si le Sénégal n’a pas brillé depuis le début de la Can et est passé tout près de l'élimination lors de la phase de poules, le défi est de taille pour les hommes d’Aliou Cissé, qui, eux non plus, n'ont convaincu personne depuis le début du tournoi. L’objectif officiel des Lions est d'atteindre la finale, mais les joueurs, le peuple sénégalais et même président de la République ont «le premier sacre» dans un coin de la tête ou sur le bout des lèvres. Il faut déjà monter dans le quart, où les Lions s'étaient arrêtés lors de la précédente édition au Gabon.
Quand l’entraîneur ougandais disait qu’il préférait avoir le Sénégal en 1/8e plutôt que le Kenya
Contre l’Ouganda, le jeu sera de mettre ses tripes sur le gril des Cranes attisés notamment par le coach Sébastian Desabre, qui a récemment indiqué qu’il préfère affronter le Sénégal plutôt que le Kenya. «Maintenant que cette qualification est atteinte, nous voulons rester plus longtemps et profiter du reste du tournoi. Nous ne savons pas qui jouer, mais nous sommes sur la voie des équipes comme le Sénégal et le Kenya. Je préfère que nous affrontions le Sénégal, pour nous donner la chance de jouer une autre équipe solide», disait-il en conférence de presse. Mais, même sans connaître le onze d’Aliou Cissé, après trois matches joués dans ce tournoi, il est toutefois possible de tirer quelques enseignements des dynamiques observées. Il y a donc fort à parier que le sélectionneur des Lions, qui n'a pas caché sa satisfaction au terme du dernier acte face au Kenya, reconduise un 4-3-3 avec Mbaye Niang en pointe. Grands perdants de cette hypothèse : Keita Baldé sur le front de l'attaque et Krepin Diatta, qui devra rester sur le banc dans l’entrejeu des Lions.
Sur le papier, le onze sénégalais a tout d'une machine de guerre, mais
En fait, sauf surprise, une seule véritable interrogation perdure : la présence ou non de Youssouf Sabaly au poste de latéral gauche. Le Bordelais qui revient de blessure a été bien suppléé par Saliou Ciss, face au Kenya, alors qu’à droite, Lamine Gassama devra tenir son poste au détriment de Moussa Wagué. Sur le papier, le onze sénégalais a tout d'une machine de guerre ; dans les faits, il aura fort à faire face aux Cranes qui ont battu la RDC Congo, avant de faire faire match nul contre le Zimbabwe et de perdre face à l’Égypte, au sortir d’une belle prestation. Le Sénégal est donc averti !
Et maintenant, on va savoir ce que les Lions ont dans le ventre. Après une qualification sans briller mais précieuse (victoires contre la Tanzanie et le Kenya et la défaite face à l’Algérie), l’équipe nationale du Sénégal va croiser le fer avec l’Ouganda ce vendredi. Un match couperet pour se qualifier pour les quarts de finale et affronter le vainqueur de Maroc-Bénin ou bien dire adieu à la compétition. Apathie interdite, et frissons garantis entre Lions et Cranes. Classé deuxième de son groupe, le Sénégal défie donc l’Ouganda, qui a arraché la 2e place du groupe A derrière l’Égypte. Si le Sénégal n’a pas brillé depuis le début de la Can et est passé tout près de l'élimination lors de la phase de poules, le défi est de taille pour les hommes d’Aliou Cissé, qui, eux non plus, n'ont convaincu personne depuis le début du tournoi. L’objectif officiel des Lions est d'atteindre la finale, mais les joueurs, le peuple sénégalais et même président de la République ont «le premier sacre» dans un coin de la tête ou sur le bout des lèvres. Il faut déjà monter dans le quart, où les Lions s'étaient arrêtés lors de la précédente édition au Gabon.
Quand l’entraîneur ougandais disait qu’il préférait avoir le Sénégal en 1/8e plutôt que le Kenya
Contre l’Ouganda, le jeu sera de mettre ses tripes sur le gril des Cranes attisés notamment par le coach Sébastian Desabre, qui a récemment indiqué qu’il préfère affronter le Sénégal plutôt que le Kenya. «Maintenant que cette qualification est atteinte, nous voulons rester plus longtemps et profiter du reste du tournoi. Nous ne savons pas qui jouer, mais nous sommes sur la voie des équipes comme le Sénégal et le Kenya. Je préfère que nous affrontions le Sénégal, pour nous donner la chance de jouer une autre équipe solide», disait-il en conférence de presse. Mais, même sans connaître le onze d’Aliou Cissé, après trois matches joués dans ce tournoi, il est toutefois possible de tirer quelques enseignements des dynamiques observées. Il y a donc fort à parier que le sélectionneur des Lions, qui n'a pas caché sa satisfaction au terme du dernier acte face au Kenya, reconduise un 4-3-3 avec Mbaye Niang en pointe. Grands perdants de cette hypothèse : Keita Baldé sur le front de l'attaque et Krepin Diatta, qui devra rester sur le banc dans l’entrejeu des Lions.
Sur le papier, le onze sénégalais a tout d'une machine de guerre, mais
En fait, sauf surprise, une seule véritable interrogation perdure : la présence ou non de Youssouf Sabaly au poste de latéral gauche. Le Bordelais qui revient de blessure a été bien suppléé par Saliou Ciss, face au Kenya, alors qu’à droite, Lamine Gassama devra tenir son poste au détriment de Moussa Wagué. Sur le papier, le onze sénégalais a tout d'une machine de guerre ; dans les faits, il aura fort à faire face aux Cranes qui ont battu la RDC Congo, avant de faire faire match nul contre le Zimbabwe et de perdre face à l’Égypte, au sortir d’une belle prestation. Le Sénégal est donc averti !