
L’occasion faisant le larron, dit-on, Oscar n’a pas hésité à choisir son moment, dès le rejet par la Cour suprême de son rabat contre l’arrêt de la chambre pénale de la haute juridiction. Après un grand détour par les retombées de sa virée dans l’Empire du milieu, Koromack a abordé, subsidiairement, ce coup de Jarnac qu’aurait porté la Cour suprême. Mais, la juridiction pouvait-elle désavouer sa chambre pénale ? En tout cas, pour Oscar, le système garde des poches de résistance qui ne sont pas faciles à réduire. Mais, quoi qu’il en soit, il ne se laisse pas désarçonner et compte faire rejuger le dossier qui l’oppose à l’ancien ministre Mame Mbaye Niang, sur la base d’éléments nouveaux en sa possession, relativement au rapport de L’Igf sur le Prodac. C’est le PM qui a certainement remis lesdits documents au président de Pastef. Y a-t-il alors recel de documents administratifs ? Attendons de voir. Et comme le pastéfien en chef promet de remettre sur le tapis toutes les affaires qui, à l’en croire, lui ont été imposées pour l’empêcher d’être candidat à la présidentielle, le salon Sweet Beauté ne manquera pas de rouvrir ses portes un de ces quatre. En attendant, d’aucuns vont ergoter sur l’éligibilité ou non de Koromack. Un vrai serpent de mer.
Waa Ji