La Grande Côte Operations (GCO) a remis ce vendredi 28 février un chèque pour accompagner le Coud dans l'amélioration des conditions de vie des étudiants. Ce geste symbolique entre dans le cadre d’une responsabilité sociétale et marque le début d'un partenariat. Pour le Directeur du Coud, Abdoulaye Sow, qui a apprécié le geste, ce partenariat accompagne le Coud dans ses différentes missions sociales
Le Coud vient de gagner un partenariat de taille. En effet, la GCO a remis un chèque dans le cadre de sa Rse pour accompagner le Coud. Pour le Pca de la GCO, Daour Dieng, ceci n’est que le début du partenariat. «Nous allons formaliser dans les jours à venir un partenariat que nous voulons fécond, mais aussi dynamique, allant dans le sens de l’atteinte de nos objectifs respectifs», soutient-il. Avant d’ajouter : «vous allez être un exemple pour les autres établissements publics comme privés, pour savoir que l’université est le creuset pour toutes les unités. Beaucoup de pays aujourd’hui essayent d’apporter leur coup de main à cette œuvre que nous sommes en train de construire ensemble». Abdoulaye Sow a apprécié à sa juste valeur le geste posé à leur endroit. «Nous avons une mission sociale qui a diverses déclinaisons et ces dernières sont multiples, proportionnelles aux besoins des étudiants, mais aussi du personnel administratif et technique. L’investissement des pouvoirs publics est consistant, mais jamais suffisant. C’est pourquoi nous avons pensé que pour apporter un complément, il fallait nouer de nouveaux types de partenariat avec des établissements publics ou privés», indique le boss du Coud. Pour le Dg du Centre des œuvres universitaires de Dakar, la GCO et le Coud partagent les mêmes objectifs. «C’est avec beaucoup de plaisir que je me suis rendu à la GCO et nous avons eu une discussion franche avec le Pca. Et, de nos discussions, nous avons vu un certain nombre de plages de convergence de vue, de vision, que doivent avoir des établissements de notre genre, surtout que nous, nous sommes dans le social et nous pouvons penser que nos objectifs sont antagoniques. Ça c’est la lecture au premier degré, mais au deuxième degré, on peut dire que les objectifs convergent. Et c’est au campus que se développent la pépinière de nouvelles élites», laisse -t-il entendre. D’après Joséphine Thior, conseillère technique au Coud, ce partenariat arrive au bon moment. «Nous avons collaboré avec eux dans le passé, et nous avons pensé qu’avec l’élan du Directeur par rapport à la réorganisation qu’il veut apporter au Coud, ce geste était bien placé pour nous accompagner», renseigne-t-elle.
Khadidjatou DIAKHATE
Le Coud vient de gagner un partenariat de taille. En effet, la GCO a remis un chèque dans le cadre de sa Rse pour accompagner le Coud. Pour le Pca de la GCO, Daour Dieng, ceci n’est que le début du partenariat. «Nous allons formaliser dans les jours à venir un partenariat que nous voulons fécond, mais aussi dynamique, allant dans le sens de l’atteinte de nos objectifs respectifs», soutient-il. Avant d’ajouter : «vous allez être un exemple pour les autres établissements publics comme privés, pour savoir que l’université est le creuset pour toutes les unités. Beaucoup de pays aujourd’hui essayent d’apporter leur coup de main à cette œuvre que nous sommes en train de construire ensemble». Abdoulaye Sow a apprécié à sa juste valeur le geste posé à leur endroit. «Nous avons une mission sociale qui a diverses déclinaisons et ces dernières sont multiples, proportionnelles aux besoins des étudiants, mais aussi du personnel administratif et technique. L’investissement des pouvoirs publics est consistant, mais jamais suffisant. C’est pourquoi nous avons pensé que pour apporter un complément, il fallait nouer de nouveaux types de partenariat avec des établissements publics ou privés», indique le boss du Coud. Pour le Dg du Centre des œuvres universitaires de Dakar, la GCO et le Coud partagent les mêmes objectifs. «C’est avec beaucoup de plaisir que je me suis rendu à la GCO et nous avons eu une discussion franche avec le Pca. Et, de nos discussions, nous avons vu un certain nombre de plages de convergence de vue, de vision, que doivent avoir des établissements de notre genre, surtout que nous, nous sommes dans le social et nous pouvons penser que nos objectifs sont antagoniques. Ça c’est la lecture au premier degré, mais au deuxième degré, on peut dire que les objectifs convergent. Et c’est au campus que se développent la pépinière de nouvelles élites», laisse -t-il entendre. D’après Joséphine Thior, conseillère technique au Coud, ce partenariat arrive au bon moment. «Nous avons collaboré avec eux dans le passé, et nous avons pensé qu’avec l’élan du Directeur par rapport à la réorganisation qu’il veut apporter au Coud, ce geste était bien placé pour nous accompagner», renseigne-t-elle.
Khadidjatou DIAKHATE