![Des nouvelles de Amy Ndiaye Des nouvelles de Amy Ndiaye](https://www.jotaay.net/photo/art/default/69399594-48542025.jpg?v=1670258207)
Des nouvelles de Amy Ndiaye
La députée apériste giflée par Massata Samb et qui a reçu un coup de pied au ventre de la part de Mamadou Niang est toujours à l’hôpital. Selon nos informations, Amy Ndiaye Gniby, toujours internée à l’hôpital Principal, va de mieux en mieux. Croisons les doigts et prions pour qu’elle sorte le plus rapidement possible de là où elle est et, surtout, qu’elle ne perde pas sa grossesse. Amiiiine.
30s de silence pour soutenir Amy Ndiaye Gniby
Les femmes du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar ne veulent pas passer outre l’acte de barbarie perpétré sur leur collègue Amy Ndiaye Gniby. A chaque fois que l’une d’elle a pris la parole avant-hier lors du passage du ministre de la Pêche, elle a marqué 30 secondes de pause pour dénoncer et marquer sa solidarité à leur collègue. Que ce soit Sira ou les autres, tout le monde a respecté cette ‘consigne’’.
Idy condamne l’agression de Amy Ndiaye
Idrissa Seck a réagi aux actes de violence qui ont été notés mercredi dernier à l’Assemblée nationale à l’occasion de l’examen du projet de budget du ministère de la Justice. Dans un court texte, le président du Conseil économique, social et environnemental dit bannir toute sorte de violence, de quelque bord que ce soit. «Quelles que soient nos divergences, que nous ayons été heurtés ou blessés dans ce que nous avons de plus cher et de sacré, rien ne justifie la violence et plus particulièrement la violence envers les femmes», a laissé entendre ‘’Ngorsi’’ qui rappelle que l’Assemblée nationale, tout comme au Conseil économique, social et environnemental sont faits pour représenter dignement le peuple sénégalais. «Ne l’oublions pas. La démocratie au Sénégal est le modèle de référence africain et tous nous devrions contribuer à le préserver», a écrit Idrissa Seck.
Thierno Bocoum rappelle son cas en 2015 et exige justice contre les députés ‘’frappeurs’’
Le président du Mouvement Agir a encore réagi sur l’agression de Amy. Dans une déclaration, il rappelle ce qui lui est arrivé en 2015 quand sa veste ainsi que celle de Oumar Sarr avaient été déchirés dans l’hémicycle par des députés de la coalition Benno Bokk Yaakaar. «En 2015 nous avions été agressé par des députés de BBY qui avaient mis en avant les femmes dans leur stratégie de combat. Ils savaient que nous allions perdre d’avance le combat puisque nous ne pouvions pas nous en prendre physiquement aux femmes. Aujourd’hui, des hommes, députés de leur pays, se vantent d’avoir donné des coups de point et de pieds à une femme enceinte et certains leurs trouvent des excuses. Cette agression ignoble, au sein d’une institution de la république, doit être dénoncée sans réserve. Plus jamais ça. Que ceux qui rêvent de se battre physiquement et avoir des victoires cherchent un combat de lutte avec frappe. Qu’ils sachent qu’une femme n’est pas un punching-ball. Que l’Assemblee nationale prenne ses responsabilités. Que la justice sévisse»
La députée apériste giflée par Massata Samb et qui a reçu un coup de pied au ventre de la part de Mamadou Niang est toujours à l’hôpital. Selon nos informations, Amy Ndiaye Gniby, toujours internée à l’hôpital Principal, va de mieux en mieux. Croisons les doigts et prions pour qu’elle sorte le plus rapidement possible de là où elle est et, surtout, qu’elle ne perde pas sa grossesse. Amiiiine.
30s de silence pour soutenir Amy Ndiaye Gniby
Les femmes du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar ne veulent pas passer outre l’acte de barbarie perpétré sur leur collègue Amy Ndiaye Gniby. A chaque fois que l’une d’elle a pris la parole avant-hier lors du passage du ministre de la Pêche, elle a marqué 30 secondes de pause pour dénoncer et marquer sa solidarité à leur collègue. Que ce soit Sira ou les autres, tout le monde a respecté cette ‘consigne’’.
Idy condamne l’agression de Amy Ndiaye
Idrissa Seck a réagi aux actes de violence qui ont été notés mercredi dernier à l’Assemblée nationale à l’occasion de l’examen du projet de budget du ministère de la Justice. Dans un court texte, le président du Conseil économique, social et environnemental dit bannir toute sorte de violence, de quelque bord que ce soit. «Quelles que soient nos divergences, que nous ayons été heurtés ou blessés dans ce que nous avons de plus cher et de sacré, rien ne justifie la violence et plus particulièrement la violence envers les femmes», a laissé entendre ‘’Ngorsi’’ qui rappelle que l’Assemblée nationale, tout comme au Conseil économique, social et environnemental sont faits pour représenter dignement le peuple sénégalais. «Ne l’oublions pas. La démocratie au Sénégal est le modèle de référence africain et tous nous devrions contribuer à le préserver», a écrit Idrissa Seck.
Thierno Bocoum rappelle son cas en 2015 et exige justice contre les députés ‘’frappeurs’’
Le président du Mouvement Agir a encore réagi sur l’agression de Amy. Dans une déclaration, il rappelle ce qui lui est arrivé en 2015 quand sa veste ainsi que celle de Oumar Sarr avaient été déchirés dans l’hémicycle par des députés de la coalition Benno Bokk Yaakaar. «En 2015 nous avions été agressé par des députés de BBY qui avaient mis en avant les femmes dans leur stratégie de combat. Ils savaient que nous allions perdre d’avance le combat puisque nous ne pouvions pas nous en prendre physiquement aux femmes. Aujourd’hui, des hommes, députés de leur pays, se vantent d’avoir donné des coups de point et de pieds à une femme enceinte et certains leurs trouvent des excuses. Cette agression ignoble, au sein d’une institution de la république, doit être dénoncée sans réserve. Plus jamais ça. Que ceux qui rêvent de se battre physiquement et avoir des victoires cherchent un combat de lutte avec frappe. Qu’ils sachent qu’une femme n’est pas un punching-ball. Que l’Assemblee nationale prenne ses responsabilités. Que la justice sévisse»