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ALIOU CISSÉ APRÈS LA DÉFAITE CONTRE L’ANGLETERRE: «Pour le moment, je suis toujours le sélectionneur du Sénégal. L’avenir nous dira»



ALIOU CISSÉ APRÈS LA DÉFAITE CONTRE L’ANGLETERRE:  «Pour le moment, je suis toujours le sélectionneur du Sénégal. L’avenir nous dira»
 
Aliou Cissé estime qu'il y avait trop de différence entre son équipe et l'Angleterre, nettement supérieure dans l'impact athlétique. Voici l'intégralité de sa conférence de presse après la défaite du Sénégal en huitièmes de finale de cette Coupe du monde Qatar 2022.
 
Coach, quelle lecture faites-vous de cette défaite ?
 
On a eu les opportunités de marquer, ça n’a pas été le cas. Aujourd’hui, on est tombé sur une très belle équipe anglaise. Au niveau des duels et de l’impact physique, on a été vraiment très loin de ce qu’on avait l’habitude de faire. On a travaillé pendant des années pour être le numéro 1 en Afrique. Aujourd’hui (hier), c’était un des membres du Big Five mondial et la différence s’est nettement sentie.
 
Qu’est-ce qui a expliqué ce manque d’état d’esprit de combattant de vos joueurs ?
 
Ce n’est pas au niveau de l’état d’esprit qui a toujours été au rendez-vous. Je suis fier de mes garçons, mais il faut aussi avouer la suprématie de l’équipe qui était en face de nous. Ils ont mis beaucoup d’impact, ils ont gagné des duels. Ce premier but qu’on prend à cinq minutes de la fin de la première période nous a un peu déstabilisés, et le 2ème but est venu nous plomber. Et enfin le 3ème but qu’on prend en début de seconde période nous sort carrément de la rencontre. Je loue la mentalité de mon équipe, les garçons n’ont jamais abandonné, ils ont continué à jouer et essayer d’avancer.
 
Vous attendiez-vous à un tel résultat ?
 
Non, pas du tout. Notre force dans cette équipe a toujours été notre assise défensive, mais on a constaté qu’on prend régulièrement des buts depuis le début de la compétition. On encaisse toujours. C’est surprenant à ce niveau. La force du Sénégal avant de venir dans cette Coupe du monde était notre défense, beaucoup disaient que l’équipe ne prenait pas de buts. Le fait de prendre autant de buts dans cette compétition est inexplicable. Nous nous améliorons là-dessus. Ce n’est pas un problème de système. On a montré lors de la dernière Can qu’on était capable d’aller jusqu’en finale sans être inquiété derrière. Ce qui est valable en Coupe d’Afrique ne l’est pas au Mondial. Les erreurs se paient cash.
 
Au-delà de cette défaite et cette élimination, qu’est-ce que vous avez appris de cette rencontre et qui pourrait vous aider dans les échéances à venir ?
 
On est en Coupe du monde, et ce sont les meilleurs qui sont là. Le Sénégal était 18ème au classement Fifa. En face de nous, il y avait une équipe classée 5ème au niveau mondial. Tout cela est un processus. On a travaillé pendant des années pour essayer de hausser notre niveau sur le continent. Il faut que nous continuions à travailler pour qu’on puisse rivaliser avec des équipes de cette envergure en Coupe du monde.
 
Quel avenir sur le banc des Lions après cet échec ?
 
Pour l’instant, je ne peux pas parler de mon avenir. Il y a une défaite qui est là, on va tirer les enseignements de cette élimination et puis on verra bien ce qui se passera. Pour le moment, je suis toujours le sélectionneur du Sénégal. L’avenir nous dira.
 
En jetant quatre joueurs à vocation offensive au milieu, qu’est-ce que vous cherchiez ?
 
C’est un choix tactique, je pense qu’il ne s’agissait pas de se mettre derrière à dix et attendre que les vagues arrivent sur nous. Il fallait être concentré, et pendant trente minutes on a réussi à le faire. J’ai demandé à mon équipe de jouer, parce qu’il ne servait à rien de prendre les ballons et de les balancer. L’objectif était de sortir, bien combiner.
 
Le Sénégal n’avait plus encaissé trois buts depuis octobre 2020 (contre Maroc 1-3), comment expliquez-vous le manque de réaction de vos joueurs ?
 
Je n’ai pas eu cette impression. On a pris les buts sur des erreurs techniques. Quand vous perdez des ballons dans certains endroits du terrain, ça se paie cash. Quand vous perdez certains ballons, surtout en face des garçons comme Kane, Foden, Saka…, ça ne pardonne pas. Le haut niveau, c’est de petits détails.
 
Vous attendiez-vous à encaisser autant de buts ?
 
Pas du tout. Notre force a toujours été l'assise défensive. Je constate que depuis le début de ce tournoi, on a souvent pris des buts. Mais on a marqué aussi. C'est surprenant. En général, notre défense nous permet de faire la différence. Je ne m'attendais pas du tout à ça.
 
 
Sadio Mané vous a-t-il trop manqué ?
 
Forcément, un joueur de ce calibre. Mais l'ensemble et le collectif ont été cependant intéressants. Je suis satisfait de nos quatre matchs.
 
Que cherchiez-vous à la pause avec vos trois changements ?
 
C'était un choix tactique. Je ne voulais pas nous mettre à dix derrière à attendre les vagues. Il fallait créer des problèmes à cette équipe-là. On a pu exister les 30 premières minutes. J'avais demandé à mon équipe de jouer. Si vous balancez les ballons, ils reviennent.
 
Pas temps de changer de système ?
 
Je peux vous répéter que la force du Sénégal est son assise défensive, reconnue de tous. Le fait d'avoir encaissé autant de buts est inexplicable. Ce n'est pas un problème de système. Les erreurs se payent cash en Coupe du monde.
 
Le match était-il plié quand vous avez manqué vos deux premières occasions ?
 
Non. Une rencontre dure 90 minutes. Nos 30 premières ont été intéressantes. Mais on n'a pas réussi à convertir. C'était une très bonne équipe anglaise, forte dans les duels et l'impact physique. On a été très loin de ce que nous sommes capables de faire. Deux ou trois garçons pouvaient nous aider à plus exister mais il y avait une grande différence entre les deux équipes. Nous avons travaillé des années pour en arriver là. Mais l'Angleterre est 5e au classement Fifa. Et la différence s'est vue.
 
Quel regard jetez-vous sur le parcours de l’Afrique dans cette Coupe du monde ?
 
Le football africain est en train de s’améliorer, et comme j’ai l’habitude de le dire : c’est un processus. Un titre de champion du monde ne se décrète pas. En Afrique, les infrastructures commencent à se bonifier. Il y a une volonté des directions techniques de former des entraîneurs. Il faudra leur donner plus de possibilités de pouvoir travailler. Au niveau des arbitres, ça progresse. Nos États sont en train d’œuvrer pour que notre football avance. Dans tous les pays africains, il y a une politique sportive qui est en train d’être mise en place. Il ne faut pas se décourager, il faudra continuer à travailler pour améliorer tout ça.
 
 
 
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