Le dispositif de densification de nos frontières, en vue de rompre définitivement la chaîne de contamination et de propagation de la pandémie du coronavirus, n’a pas empêché pour autant deux émigrés d’Europe appelés «Modou-Modou» à rentrer au bercail. Ces derniers ont emprunté la voie terrestre pour quitter l’Espagne et revenir en douce auprès des leurs à Thiaroye. Cependant, ils ont été débusqués, identifiés puis livrés à un médecin pour voir s’ils ne sont pas porteurs du virus.
C’est la chasse à l’homme par la police de Thiaroye contre tout individu potentiellement porteur du Covid-19, mais surtout contre les «Modou-Modou» qui fuient comme la peste l’Europe par vagues, à cause de la maladie du coronavirus aux effets dévastateurs, ravageurs. Ces derniers viennent se réfugier en cachette dans le pays malgré tous les risques de contamination et de propagation de la pandémie.
Les émigrés revenus fraichement d’Europe sont désormais traqués
Cette vague d’émigrés d’Europe fuyards, qui inquiète davantage les populations et les empêche désormais de dormir du sommeil du juste, a poussé le commissaire de police de Thiaroye, Khadidiatou Sall, à monter en première ligne avec ses hommes et à ériger les barricades dans le but de tuer dans l’œuf l’apparition de probables cas, qui pourraient ensuite constituer sans doute des bombes humaines à fragmentations ou plutôt à métastases. C’est ainsi que la cheftaine des flics a installé un discret dispositif de surveillance et d’alerte aux récents retours en cachette de «Modou-Modou» dans les quartiers de son secteur de compétence. Un plan de prévention qui a commencé à porter ses fruits durant le week-end dernier.
Les «Modou-Modou» identifiés puis fichés, le sous-préfet de Dagoudane informé
Un individu revenant d’Espagne par voie terrestre a débarqué, avant-hier, tard la nuit, à Thiaroye et est allé se terrer tranquillement dans leur maison située dans la commune d’arrondissement. Mais, informés du retour du quidam, les habitants du quartier ont pris peur et sont allés séance tenante alerter le commissaire Sall. Qui envoie vite en éclaireur un de ses éléments de l’ombre pour vérifier le tuyau. Il saisit ensuite le sous-préfet de Pikine Dagoudane, qui fait la remontée de l’information à la hiérarchie compétente. Mais, pour parer au plus pressé, l’autorité administrative territoriale locale ordonne l’identification de l’émigré d’Europe qui, à défaut d’être mis en quarantaine pour la période d’incubation de la maladie, a été confié au médecin de l’hôpital de Thiaroye, où il est présentement suivi de très près dans la plus grande discrétion dans le centre hospitalier.
Les émigrés fuyards surveillés à l’hôpital à défaut d’une mise en quarantaine
Un autre «Modou-Modou» d’Espagne a été signalé aussi à Thiaroye par les habitants du quartier. L’émigré a en effet réussi à passer entre les mailles du filet du dispositif de contrôle des frontières du pays. Il a débarqué en catimini, samedi dernier, aux heures creuses de la nuit dans la localité avant d’aller se planquer dans sa maison familiale. Il a été cependant débusqué grâce à la collaboration des populations, puis livré au personnel soignant de l’hôpital pour une surveillance stricte, afin de voir si celui-ci va développer durant la période d’incubation des signes symptomatiques de la maladie.
Vieux Père NDIAYE
C’est la chasse à l’homme par la police de Thiaroye contre tout individu potentiellement porteur du Covid-19, mais surtout contre les «Modou-Modou» qui fuient comme la peste l’Europe par vagues, à cause de la maladie du coronavirus aux effets dévastateurs, ravageurs. Ces derniers viennent se réfugier en cachette dans le pays malgré tous les risques de contamination et de propagation de la pandémie.
Les émigrés revenus fraichement d’Europe sont désormais traqués
Cette vague d’émigrés d’Europe fuyards, qui inquiète davantage les populations et les empêche désormais de dormir du sommeil du juste, a poussé le commissaire de police de Thiaroye, Khadidiatou Sall, à monter en première ligne avec ses hommes et à ériger les barricades dans le but de tuer dans l’œuf l’apparition de probables cas, qui pourraient ensuite constituer sans doute des bombes humaines à fragmentations ou plutôt à métastases. C’est ainsi que la cheftaine des flics a installé un discret dispositif de surveillance et d’alerte aux récents retours en cachette de «Modou-Modou» dans les quartiers de son secteur de compétence. Un plan de prévention qui a commencé à porter ses fruits durant le week-end dernier.
Les «Modou-Modou» identifiés puis fichés, le sous-préfet de Dagoudane informé
Un individu revenant d’Espagne par voie terrestre a débarqué, avant-hier, tard la nuit, à Thiaroye et est allé se terrer tranquillement dans leur maison située dans la commune d’arrondissement. Mais, informés du retour du quidam, les habitants du quartier ont pris peur et sont allés séance tenante alerter le commissaire Sall. Qui envoie vite en éclaireur un de ses éléments de l’ombre pour vérifier le tuyau. Il saisit ensuite le sous-préfet de Pikine Dagoudane, qui fait la remontée de l’information à la hiérarchie compétente. Mais, pour parer au plus pressé, l’autorité administrative territoriale locale ordonne l’identification de l’émigré d’Europe qui, à défaut d’être mis en quarantaine pour la période d’incubation de la maladie, a été confié au médecin de l’hôpital de Thiaroye, où il est présentement suivi de très près dans la plus grande discrétion dans le centre hospitalier.
Les émigrés fuyards surveillés à l’hôpital à défaut d’une mise en quarantaine
Un autre «Modou-Modou» d’Espagne a été signalé aussi à Thiaroye par les habitants du quartier. L’émigré a en effet réussi à passer entre les mailles du filet du dispositif de contrôle des frontières du pays. Il a débarqué en catimini, samedi dernier, aux heures creuses de la nuit dans la localité avant d’aller se planquer dans sa maison familiale. Il a été cependant débusqué grâce à la collaboration des populations, puis livré au personnel soignant de l’hôpital pour une surveillance stricte, afin de voir si celui-ci va développer durant la période d’incubation des signes symptomatiques de la maladie.
Vieux Père NDIAYE