Le sélectionneur de l’Ouganda, Sébastien Desabre, croit en les chances de qualification de son équipe. Le technicien belge des Cranes assure qu’ils aiment relever les gros défis.
«On ne craint aucun adversaire. C’est du football, on va répondre présent sur le terrain. On ne va pas rentrer sur le terrain avec la peur au ventre face au Sénégal, même si c’est une équipe qui collectivement et individuellement a plus d’atouts que nous. On respecte notre adversaire, mais on est motivé. On va essayer d’être au niveau du Sénégal pour pouvoir les battre. Les gens vont jouer pleinement leurs chances pour ne pas avoir de regret», a confié Sébastian Desabre, qui poursuit : «on ne choisit pas les équipes, mais nous, on aime relever les gros challenges». Sur le problème des primes des joueurs qui étaient en grève pour réclamer leur sous, Desabre reconnaît qu’il y a eu un désaccord entre les joueurs et la Fédération, mais tout est rentré dans l’ordre. «Ce n'était pas vraiment très important, car ce sont des petits conflits dans des familles. Et puis ça s'est résolu. On en est à huit semaines de stage et la discipline a été irréprochable. Les joueurs donnent tout pour la nation et je suis fier d'eux. On a repris l'entraînement, hier, avec encore plus de cohésion», dit-il. Il veut même positiver : «cela influe positivement sur nous, ça nous a apporté un plus. On est une équipe très soudée et encore plus, après ce mini-événement. C'est peut-être mieux pour nous, ce qui s'est passé, ça fait partie de mon travail de m'adapter et de tirer profit de tout ce qui se passe». Sur les faiblesses du Sénégal, il refuse de s’avancer. «Ce n’est pas à moi de juger l’équipe du Sénégal. Je ne parle que des choses intéressantes. Toute équipe a forcément des lacunes dans certains matchs, comme a pu l’avoir le Sénégal contre l’Algérie et nous face au Zimbabwe. C’est assez logique. Si je vous parle des lacunes de l’équipe, ça serait un manque de respect, car c’est une équipe que je respecte. On sait ce qu’on aura à faire, on sait quel plan on va mettre en place pour les battre. Nous allons jouer nos chances», dit-il.
«On ne craint aucun adversaire. C’est du football, on va répondre présent sur le terrain. On ne va pas rentrer sur le terrain avec la peur au ventre face au Sénégal, même si c’est une équipe qui collectivement et individuellement a plus d’atouts que nous. On respecte notre adversaire, mais on est motivé. On va essayer d’être au niveau du Sénégal pour pouvoir les battre. Les gens vont jouer pleinement leurs chances pour ne pas avoir de regret», a confié Sébastian Desabre, qui poursuit : «on ne choisit pas les équipes, mais nous, on aime relever les gros challenges». Sur le problème des primes des joueurs qui étaient en grève pour réclamer leur sous, Desabre reconnaît qu’il y a eu un désaccord entre les joueurs et la Fédération, mais tout est rentré dans l’ordre. «Ce n'était pas vraiment très important, car ce sont des petits conflits dans des familles. Et puis ça s'est résolu. On en est à huit semaines de stage et la discipline a été irréprochable. Les joueurs donnent tout pour la nation et je suis fier d'eux. On a repris l'entraînement, hier, avec encore plus de cohésion», dit-il. Il veut même positiver : «cela influe positivement sur nous, ça nous a apporté un plus. On est une équipe très soudée et encore plus, après ce mini-événement. C'est peut-être mieux pour nous, ce qui s'est passé, ça fait partie de mon travail de m'adapter et de tirer profit de tout ce qui se passe». Sur les faiblesses du Sénégal, il refuse de s’avancer. «Ce n’est pas à moi de juger l’équipe du Sénégal. Je ne parle que des choses intéressantes. Toute équipe a forcément des lacunes dans certains matchs, comme a pu l’avoir le Sénégal contre l’Algérie et nous face au Zimbabwe. C’est assez logique. Si je vous parle des lacunes de l’équipe, ça serait un manque de respect, car c’est une équipe que je respecte. On sait ce qu’on aura à faire, on sait quel plan on va mettre en place pour les battre. Nous allons jouer nos chances», dit-il.