Sayda Oumoulkhairy Ibrahim Niasse, une militante des droits des femmes, de l’éducation pour tous et de la paix dans le monde, a reçu ce mercredi 25 octobre le Grand Prix Global Humanitaire Citoyen ou Glabal Humatiarian Citizen Award en Anglais, de la prestigieuse université Tufts, à Boston (Etats-Unis), apprend-on d’un communiqué parvenu à JOTAY.NET.
Cette fille de Cheikh Al Islam el Hadji Ibrahima Niasse dit Baye devient ainsi la première lauréate de ce prix. Sayda Oumoulkhairy Niasse dite Mama Kiota s’est basée au Niger, où elle dirige un mouvement de plus de 2.000 femmes musulmanes soufies, précise un la note référencée.
« Ce prix décerné à Mama Kiota vient couronner le combat qu’elle mène sans relâche pour enseigner et promouvoir la paix et la tolérance. Elle a consacré plus de la moitié d’un siècle à construire des écoles et à dispenser un islam pur, qui rétablit la femme dans ses droits les plus fondamentaux », ajoute la même source.
Selon le site Faydatidianiya.com spcialisé dans l’actualité de la Fayda, beaucoup de personnalités de la communauté tidiane du Niger (où elle est établie) étaient présentes à la cérémonie. Il y a eu également la présence du professeur Ousmane Kane de l’université Harvard (fils de Mariama Niass et petit-fils de baye Niass) et de Hawa Niass, fille de Baye Niasse.
En décrochant ce préstigieux prix, Sayda Oumoulkhairy Ibrahim Niasse vient répondre à l’appel de son vénéré père qui disait, à ses filles, dans un de ses poèmes: « Ô vous les filles, rivalisez (avec les hommes) vers le sommet, non par le corps ». Et Seyda Oumoulhairy en est l’une des illustres exemples.
Sidy Djimby NDAO
Cette fille de Cheikh Al Islam el Hadji Ibrahima Niasse dit Baye devient ainsi la première lauréate de ce prix. Sayda Oumoulkhairy Niasse dite Mama Kiota s’est basée au Niger, où elle dirige un mouvement de plus de 2.000 femmes musulmanes soufies, précise un la note référencée.
« Ce prix décerné à Mama Kiota vient couronner le combat qu’elle mène sans relâche pour enseigner et promouvoir la paix et la tolérance. Elle a consacré plus de la moitié d’un siècle à construire des écoles et à dispenser un islam pur, qui rétablit la femme dans ses droits les plus fondamentaux », ajoute la même source.
Selon le site Faydatidianiya.com spcialisé dans l’actualité de la Fayda, beaucoup de personnalités de la communauté tidiane du Niger (où elle est établie) étaient présentes à la cérémonie. Il y a eu également la présence du professeur Ousmane Kane de l’université Harvard (fils de Mariama Niass et petit-fils de baye Niass) et de Hawa Niass, fille de Baye Niasse.
En décrochant ce préstigieux prix, Sayda Oumoulkhairy Ibrahim Niasse vient répondre à l’appel de son vénéré père qui disait, à ses filles, dans un de ses poèmes: « Ô vous les filles, rivalisez (avec les hommes) vers le sommet, non par le corps ». Et Seyda Oumoulhairy en est l’une des illustres exemples.
Sidy Djimby NDAO