
«Je suis pressé de voir l’ordonnance de renvoi, parce que je suis très étonné que le juge ait rendu cette ordonnance. Je suis pressé de savoir quelles sont les motivations du juge d’instruction. Parce qu’il n’y a rien dans le dossier, c’est vide. Je me demande sur quoi le juge s’est fondé pour renvoyer l’affaire en audience. J’ai cherché, mais je n’ai pas trouvé sur quel fondement le juge s’est basé pour renvoyer notre cliente. Je veux bien savoir les motivations, encore une fois, parce qu’il n’y a pas d’élément. Le juge d’instruction avant de renvoyer doit avoir des éléments à charge, mais il n’y en a pas ici, c’est pourquoi je dis que je suis pressé de lire l’ordonnance du juge».
ME EL HADJI DIOUF AVOCAT DE ADJI SARR
«C’est une satisfaction pour nous. La partie civile demande que le procès soit retransmis en direct à travers les télévisions»
«C’est une satisfaction pour moi. Parce que nous avons tout entendu dans ce dossier. Nous avons assisté à une campagne nationale et internationale pour le non-lieu. Nous avons assisté à des manipulations extraordinaires. Pour la première fois, dans l’histoire judiciaire mondiale, nous avons vu des partis politiques, des mouvements, des associations réclamer un non-lieu qui relève du domaine exclusif du juge d’instruction. C’est la première fois qu’on a assisté à une campagne nationale et internationale faite de manipulations, d’intrigues, de menaces de mort de diffamation pour obtenir un non-lieu. Un bureau politique s’est réuni pour exiger un non-lieu. Alors que le non-lieu est exclusivement réservé au juge d’instruction. Personne ne peut exercer une quelconque pression sur un juge pour l’amener à prendre une ordonnance de non-lieu. Donc c’est souverainement que le juge d’instruction qui maitrise son dossier, après avoir mené une enquête approfondie, avec les éléments recueillis, prend la décision de non-lieu et de renvoi devant le Tribunal. Mais, c’est seulement au Sénégal, pour la première fois, dans cette affaire, que nous voyons des Oustaz, des Imams, des chroniqueurs, des insulteurs du Canada, des Etats-Unis, de la France, des partis politiques, un syndicaliste en mal de base syndicale dire que c’est un dossier vide, il doit y avoir un non-lieu. Nous sommes prêts à aller en procès depuis le jour de la plainte. La partie civile s’est préparée en conséquence. La partie civile demande que le procès soit retransmis en direct à travers les télévisions du Sénégal».
Me ETIENNE NDIONE, AVOCAT D’OUSMANE SONKO
«Nous nous attendions à un non-lieu. Nous viendrons avec force arguments, plaider et prouver qu’il est innocent»
«Nous nous attendions à un non-lieu, mais le juge en a décidé autrement. On viendra devant le juge plaider. Cela me surprend personnellement parce qu’il n’y a rien qui puisse justifier qu’Ousmane Sonko soit renvoyé devant la juridiction de jugement. Mais puisqu’on nous a envoyés, on viendra avec force arguments pour plaider et prouver qu’il est innocent et que c’est un complot».
A.D
ME EL HADJI DIOUF AVOCAT DE ADJI SARR
«C’est une satisfaction pour nous. La partie civile demande que le procès soit retransmis en direct à travers les télévisions»
«C’est une satisfaction pour moi. Parce que nous avons tout entendu dans ce dossier. Nous avons assisté à une campagne nationale et internationale pour le non-lieu. Nous avons assisté à des manipulations extraordinaires. Pour la première fois, dans l’histoire judiciaire mondiale, nous avons vu des partis politiques, des mouvements, des associations réclamer un non-lieu qui relève du domaine exclusif du juge d’instruction. C’est la première fois qu’on a assisté à une campagne nationale et internationale faite de manipulations, d’intrigues, de menaces de mort de diffamation pour obtenir un non-lieu. Un bureau politique s’est réuni pour exiger un non-lieu. Alors que le non-lieu est exclusivement réservé au juge d’instruction. Personne ne peut exercer une quelconque pression sur un juge pour l’amener à prendre une ordonnance de non-lieu. Donc c’est souverainement que le juge d’instruction qui maitrise son dossier, après avoir mené une enquête approfondie, avec les éléments recueillis, prend la décision de non-lieu et de renvoi devant le Tribunal. Mais, c’est seulement au Sénégal, pour la première fois, dans cette affaire, que nous voyons des Oustaz, des Imams, des chroniqueurs, des insulteurs du Canada, des Etats-Unis, de la France, des partis politiques, un syndicaliste en mal de base syndicale dire que c’est un dossier vide, il doit y avoir un non-lieu. Nous sommes prêts à aller en procès depuis le jour de la plainte. La partie civile s’est préparée en conséquence. La partie civile demande que le procès soit retransmis en direct à travers les télévisions du Sénégal».
Me ETIENNE NDIONE, AVOCAT D’OUSMANE SONKO
«Nous nous attendions à un non-lieu. Nous viendrons avec force arguments, plaider et prouver qu’il est innocent»
«Nous nous attendions à un non-lieu, mais le juge en a décidé autrement. On viendra devant le juge plaider. Cela me surprend personnellement parce qu’il n’y a rien qui puisse justifier qu’Ousmane Sonko soit renvoyé devant la juridiction de jugement. Mais puisqu’on nous a envoyés, on viendra avec force arguments pour plaider et prouver qu’il est innocent et que c’est un complot».
A.D