Le président de la Fédération sénégalaise de football voit grand pour cette Can. Me Augustin Senghor promet que si le Sénégal arrive en demi-finale, il ira jusqu’au bout.
«Nous ne voulons plus nous cacher. C’est nous qui avons travaillé jusqu’à ce que tout le monde pense que nous sommes les meilleurs en Afrique. Nous sommes premiers en Afrique et nos joueurs brillent partout en Europe. On est l’un des pays qui a vu son meilleur joueur remporter la Ligue des champions. C’est autant de facteurs qui font que même si on refuse l’étiquette de favori, les gens vont penser autrement. Nous sommes des favoris humbles, parce qu’on sait d’un autre côté aussi que si les résultats sur la durée font de nous l’une des meilleures équipes africaines, sur le plan du palmarès, il y a un vide qui fait qu’il y a un goût d’inachevé. Et les joueurs ont comme mission de pouvoir combler ce vide, pour montrer que les résultats de toutes les semaines, de tous les mois correspondent à notre force réelle. Mon pari, c’est de remporter le trophée, nous sentons qu’il y a un besoin réel, petit à petit, qu’on se construit. Nous n’avons pas crié sur tous les toits que nous voulons gagner la Can, tout le monde le sait. Nous allons y travailler. Sortons de notre groupe dans une bonne position, pour avoir un bon tableau. Le reste, les joueurs en feront leur affaire, pour passer le cap des quarts de finale qui nous fuit depuis 2006, est notre plafond de verre pour aller plus loin. Si nous passons les quarts de finale, je vous promets qu’on ira en finale et si on y va, je vous promets le trophée».
«Nous ne voulons plus nous cacher. C’est nous qui avons travaillé jusqu’à ce que tout le monde pense que nous sommes les meilleurs en Afrique. Nous sommes premiers en Afrique et nos joueurs brillent partout en Europe. On est l’un des pays qui a vu son meilleur joueur remporter la Ligue des champions. C’est autant de facteurs qui font que même si on refuse l’étiquette de favori, les gens vont penser autrement. Nous sommes des favoris humbles, parce qu’on sait d’un autre côté aussi que si les résultats sur la durée font de nous l’une des meilleures équipes africaines, sur le plan du palmarès, il y a un vide qui fait qu’il y a un goût d’inachevé. Et les joueurs ont comme mission de pouvoir combler ce vide, pour montrer que les résultats de toutes les semaines, de tous les mois correspondent à notre force réelle. Mon pari, c’est de remporter le trophée, nous sentons qu’il y a un besoin réel, petit à petit, qu’on se construit. Nous n’avons pas crié sur tous les toits que nous voulons gagner la Can, tout le monde le sait. Nous allons y travailler. Sortons de notre groupe dans une bonne position, pour avoir un bon tableau. Le reste, les joueurs en feront leur affaire, pour passer le cap des quarts de finale qui nous fuit depuis 2006, est notre plafond de verre pour aller plus loin. Si nous passons les quarts de finale, je vous promets qu’on ira en finale et si on y va, je vous promets le trophée».