La presse nationale qui couvre les séances plénières de l’Assemblée nationale peut désormais espérer avoir de meilleures conditions de travail à l’hémicycle. En effet, le Forum civil s’est associé à la Convention des jeunes reporters du Sénégal (Cjrs) pour porter le plaidoyer afin de faciliter aux journalistes leur travail au niveau du Parlement.
Dans lecadre de son projet de lutte contre la corruption et pour la promotion de la redevabilité, le Forum civil a convenu avec la Convention des jeunes reporter du Sénégal (Cjrs) de la formation de journalistes spécialistes dans les questions de l’Assemblée nationale, avec une accréditation spéciale pour la couverture des travaux de l’Assemblée nationale. C’est lors de l’atelier d’échanges sur l’organisation et le fonctionnement de l’Assemblée nationale qui s’est tenu hier à la Maison de la presse que les bases du projet ont été jetés. Selon le coordonnateur du Forum civil, «l'Assemblée nationale dispose de pas mal d'instruments de redevabilité et de lutte contre la corruption et ce sont ces instruments que l'on compte mettre à la disposition des journalistes», a indiqué Birahime Seck. Qui considère que les reporters doivent jouer un rôle plus important dans la diffusion de l'information parlementaire. «Notre objectif est d'avoir des journalistes accrédités à l'Assemblée nationale afin qu'ils puissent assister aux travaux des commissions et mieux informer les populations», annonce-t-il.
Une position que la Convention des jeunes reporters partage pleinement. «Les reporters devraient aller plus loin dans le traitement de l'information parlementaire et ne pas se limiter à recueillir l'avis des ministres au sortir de la plénière », préconise Migui Marame Ndiaye, vice-président de la Convention. Le journaliste milite, en outre, pour que les journalistes puissent accéder aux travaux en commissions.
Ladite formation aété assurée par l'ancien président du groupe parlementaire libéral de la XIème législature, Doudou Wade, qui a passé en revue l'ensemble des articles de la Constitution fixant les règles de l'Assemblée. Ce dernier a justifié son engagement dans ce projet par l’importance de lapresse dans la démocratie, surtout dans un contexte où l'Assemblée nationale vit une situation inédite. «Nous allons traverser à partir de l'installation de la prochaine Assemblée, une situation nouvelle. Et je le précise tout de suite, je ne pense pas que ce soit l'Assemblée que nous recherchions. Mais je considère que ce sera l'étape de préparation effective pour aller vers une nouvelle Assemblée tout autre, à partir de 2024», considère-t-il. Les journalistes qui ont pris part à la rencontre l’ont interpellé sur les sujets relatifs à la répartition du temps, la constitution du bureau, les lois, la constitution des groupes parlementaires, la question des non-inscrits et les commissions.
NdèyeKhadyDIOUF
Dans lecadre de son projet de lutte contre la corruption et pour la promotion de la redevabilité, le Forum civil a convenu avec la Convention des jeunes reporter du Sénégal (Cjrs) de la formation de journalistes spécialistes dans les questions de l’Assemblée nationale, avec une accréditation spéciale pour la couverture des travaux de l’Assemblée nationale. C’est lors de l’atelier d’échanges sur l’organisation et le fonctionnement de l’Assemblée nationale qui s’est tenu hier à la Maison de la presse que les bases du projet ont été jetés. Selon le coordonnateur du Forum civil, «l'Assemblée nationale dispose de pas mal d'instruments de redevabilité et de lutte contre la corruption et ce sont ces instruments que l'on compte mettre à la disposition des journalistes», a indiqué Birahime Seck. Qui considère que les reporters doivent jouer un rôle plus important dans la diffusion de l'information parlementaire. «Notre objectif est d'avoir des journalistes accrédités à l'Assemblée nationale afin qu'ils puissent assister aux travaux des commissions et mieux informer les populations», annonce-t-il.
Une position que la Convention des jeunes reporters partage pleinement. «Les reporters devraient aller plus loin dans le traitement de l'information parlementaire et ne pas se limiter à recueillir l'avis des ministres au sortir de la plénière », préconise Migui Marame Ndiaye, vice-président de la Convention. Le journaliste milite, en outre, pour que les journalistes puissent accéder aux travaux en commissions.
Ladite formation aété assurée par l'ancien président du groupe parlementaire libéral de la XIème législature, Doudou Wade, qui a passé en revue l'ensemble des articles de la Constitution fixant les règles de l'Assemblée. Ce dernier a justifié son engagement dans ce projet par l’importance de lapresse dans la démocratie, surtout dans un contexte où l'Assemblée nationale vit une situation inédite. «Nous allons traverser à partir de l'installation de la prochaine Assemblée, une situation nouvelle. Et je le précise tout de suite, je ne pense pas que ce soit l'Assemblée que nous recherchions. Mais je considère que ce sera l'étape de préparation effective pour aller vers une nouvelle Assemblée tout autre, à partir de 2024», considère-t-il. Les journalistes qui ont pris part à la rencontre l’ont interpellé sur les sujets relatifs à la répartition du temps, la constitution du bureau, les lois, la constitution des groupes parlementaires, la question des non-inscrits et les commissions.
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