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BASSIROU SAMB, COORDONNATEUR DE LA JEUNESSE DE TAXAWU ET DE YEWWU ASKAN WI :«Il ne s’agit pas d’aller défendre Ousmane Sonko, mais la République et les institutions»



BASSIROU SAMB, COORDONNATEUR DE LA JEUNESSE DE TAXAWU ET DE YEWWU ASKAN WI :«Il ne s’agit pas d’aller défendre Ousmane Sonko, mais la République et les institutions»
 
 Nommé à la tête de la coordination des jeunes de la coalition Yewwi Askan Wi, le coordonnateur de la jeunesse de Taxawu Sénégal nous a livré sa feuille de route dans cette nouvelle mission. Bassirou Samb a aussi demandé à la jeunesse de se mobiliser demain pour accompagner le leader de Pastef. Une mobilisation qui doit s'élargir et se renforcer jusqu'à la présidentielle de 2024.
 
 
 
Les Echos : Vous avez été choisi coordonnateur des jeunesses de la coalition Yewwi. Comment cela s'est-il passé ?
 
 
 
Bassirou Samb : Yewwi est une grande coalition qui regroupe les plus grandes formations de ce pays. A un moment donné, les leaders ont senti la nécessité de mettre en place la coordination des jeunes et celle des femmes. Nous sommes arrivés à un moment où il fallait les organiser davantage parce que nous avons beaucoup de chantiers à relever. C’est Aïda Mbodji qui dirige la coordination des femmes de Yaw.
 
 
 
Justement à quoi consiste votre travail ?
 
 
 
C’est d’accompagner la Conférence des leaders dans l’atteinte de ses objectifs…C’est d’être aux côtés de la jeunesse sénégalaise, de les conscientiser davantage des missions et rôles qui sont les nôtres. Mais surtout de faire face au régime dictatorial du Président Macky Sall. Un régime qui a fini de montrer ses preuves qu’il ne sait qu’emprisonner d’honnêtes citoyens qui n’ont qu’un seul tort : dire non au Président Macky Sall. C’est pourquoi nous nous sommes organisés pour conscientiser les populations sur les enjeux à venir, surtout la présidentielle de 2024.
 
 
 
Vous voulez conscientiser, mais vos camarades jeunes aussi passent leur temps à insulter sur les réseaux sociaux…
 
 
 
A Yewwi, nous avons de grands responsables qui ont occupé de grandes responsabilités, qui ont été toujours des modèles. Nous avons un pouvoir qui fait la promotion de la médiocrité, qui fait la promotion de personnes qui n‘ont que l’insulte et la calomnieà la bouche. Face à ces gens-là, il est bon de leur montrer qu’ils n’ont pas le monopole de la violence, que nous sommes en mesure de riposter à la hauteur des attaques.
 
 
 
N'est-il pas temps de changer les choses ?
 
 
 
La jeunesse, ce n’est pas seulement l’avenir mais le présent. Aucune œuvre ne peut réussir sans l’appui de la jeunesse. Je dis à la jeunesse sénégalaise que nous avons notre mot à dire. Nous devons porter les combats de notre génération. Nous devons montrer que nous pouvons faire face à ce régime qui ne fait que du mal au peuple sénégalais. Combien de jeunes ont été envoyés en prison par ce régime, parce qu’ils ont usé de leur droit de dire non ?Il ne s’agit pas d’une communication va-t’en guerre. Il s’agit d’une communication véridique. Nous avons en face de nous un pouvoir violent, qui utilise les moyens de l’Etat pour s’attaquer à d’honnêtes citoyens. S’il y a une partie qu’on doit conscientiser, c’est Macky Sall et son clan, parce que l’opposition n’a que la plume, la parole, les manifestations pour dire non. Est-ce que nous pouvons continuer à subir les violences de ce régime ? Le seul moyen, c’est de conscientiser les Sénégalais à mettre fin à ce régime de Macky Sall dès 2024. Le président doit savoir qu’il n’a que 11 mois à la tête de ce pays. C’est le moment de montrer toute la solidarité de la jeunesse de Yewwi au président Ousmane Sonko. Nous serons à ses côtés pour faire face à ce régime.
 
 
 
Khalifa Sall candidat, vous pensez réellement qu'il a des chances puisqu'actuellement le débat, c'est entre Sonko et Macky Sall ?
 
 
 
Nous revenons d’une tournée sur le plan national. Nous estimons qu’en 2024, il nous faut un président capable de réconcilier les Sénégalais, un président qui va apaiser la situation, un président capable de faire sentir à chaque Sénégalais que l’Etat existe. Nous avons vécu une gouvernance violente du régime Benno BokkYakaar. Khalifa Sall est un républicain qui saura remettre l’Etat sur les rampes du développement.
 
 
 
Sonko fera face à Mame Mbaye Niang devant la barre demain; répondrez-vous à l'appel à la mobilisation?
 
 
 
Absolument. Il ne s’agit pas d’aller défendre Ousmane Sonko, mais la République et les institutions. Il s’agit de mettre fin à ce projet qui consiste à éliminer des adversaires politiques. Il s’agit de dire à Macky Sall qu’il ne peut plus continuer à se choisir des adversaires. toutes les forces vives de la nation doivent se mobiliser pour arrêter ce régime dans ses projets funestes. Avant-hier c’était Karim Wade, hier Khalifa Sall et aujourd’hui Ousmane Sonko. Si on laisse passer, demain ça sera qui ? C’est pourquoi nous serons au premier rang pour accompagner Ousmane Sonko, accompagner les leaders de Yaw mais dire non à ce régime et au Président Macky Sall.
 
 
 
L'actualité, c'est aussi la question de la 3e candidature de Macky. Qu’en pensez-vous ?
 
 
 
Il ne devrait même pas avoir de débat à ce sujet, parce que nous nous sommes mobilisés en 2011 pour dire non à une troisième candidature de Me Wade. On ne peut pas 12 ans après vouloir revivre la même situation. Le Président Macky Sall, l’a écrit. Il l’a dit et redit. Et la Constitution est assez claire : « Nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs ». Le président doit organiser des élections et laisser les Sénégalais choisir leur président.
 
 
 
Parlez-nous de la caravane de votre leader, Khalifa Sall ?
 
La caravane du président Khalifa Sall n’est que la constance d’un leader. Nous lançons un appel à toutes les forces progressistes, à toutes les forces socialistes des comités, des sections et des coordinations à venir se retrouver autour du président Khalifa Sall pour faire triompher le socialisme-démocratique en 2024, parce que nous avons assez souffert de la gouvernance calamiteuse des libéraux ces 20 dernières années.
 
 
 
Khalifa Sall a aussi appelé pour des retrouvailles socialistes. Bonne ou mauvaise chose quand on sait qu’une partie est déjà avec le pouvoir ?
 
 
 
Cet appel concerne toutes les forces socialistes, mais aussi toutes les forces progressistes du Sénégal. Il est temps qu’on reprenne le gouvernail. Il est temps qu’on continue le travail des pères fondateurs. L’héritier légitime et légal du père fondateur reste le président Khalifa Sall. Il est sur cette lancée. Durant notre tournée dans le département de Rufisque et de la région de Diourbel, c’est des camarades qui sont venus répondre à cet appel. Tous les jours, on reçoit des camarades acquis à la cause de Khalifa Sall. Les jours à venir, beaucoup de responsables socialistes et progressistes de gauche vont rejoindre Khalifa Sall.
 
 
 
Propos recueillis Baye Modou SARR
 
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