La matinée ensoleillée d’hier à la Somone, paisible localité côtière, s’est tragiquement transformée en un drame insoutenable. Deux enfants, Marianne Sembène, 13 ans, et Pape Amadou Ndir, 10 ans, y ont perdu la vie en se noyant, une fatalité qui a laissé la population sous le choc.
Partis innocemment pour une baignade entre amis, Marianne et Pape, accompagnés d’un autre camarade, n’imaginaient pas que cet instant de loisir deviendrait leur dernier. Comme le rapporte L’Observateur, vers 11 heures, les trois jeunes amis ont quitté leur groupe habituel pour se diriger seuls vers la plage, échappant à la vigilance de leurs parents et des habitants. La mer, silencieuse et trompeusement paisible, a été leur dernier terrain de jeu.
Alors qu’ils s’ébrouaient dans l’eau, les vagues ont soudainement pris une tournure dangereuse. Ce fut le début d’une lutte désespérée pour leur survie, visible de loin pour des pêcheurs qui se préparaient à prendre le large. Ceux-ci, témoins impuissants de la scène, se sont précipités pour leur porter secours, mais le sort en avait déjà décidé autrement. Malgré leurs efforts courageux, ils n’ont pu sauver que l’un des trois enfants. Marianne et Pape, eux, ont disparu sous les flots.
La communauté de la Somone, soudée dans la douleur, s’est alors mobilisée pour aider les équipes de secours. Les sapeurs-pompiers de Mbour, arrivés sur place, ont mis près de deux heures pour localiser les corps sans vie des deux jeunes victimes, dont les dépouilles ont ensuite été transférées à l’hôpital Thierno Mouhamadou Mansour Barro.
Pour les proches et voisins, cette double perte est d’autant plus insoutenable qu’elle semblait si improbable. Selon les témoignages recueillis par L’Observateur, ce dimanche matin était comme tous les autres dans ce quartier où les enfants jouent habituellement ensemble, insouciants. Mais cette fois, l’inconnu et le danger de la mer leur ont ravi deux des leurs.
Les habitants, dans une union poignante, pleurent Marianne et Pape, des enfants à l’avenir brisé par la force implacable des vagues. Ce drame marque durement la Somone, rappelant que même les instants de pure insouciance peuvent se transformer en tragédie.
Partis innocemment pour une baignade entre amis, Marianne et Pape, accompagnés d’un autre camarade, n’imaginaient pas que cet instant de loisir deviendrait leur dernier. Comme le rapporte L’Observateur, vers 11 heures, les trois jeunes amis ont quitté leur groupe habituel pour se diriger seuls vers la plage, échappant à la vigilance de leurs parents et des habitants. La mer, silencieuse et trompeusement paisible, a été leur dernier terrain de jeu.
Alors qu’ils s’ébrouaient dans l’eau, les vagues ont soudainement pris une tournure dangereuse. Ce fut le début d’une lutte désespérée pour leur survie, visible de loin pour des pêcheurs qui se préparaient à prendre le large. Ceux-ci, témoins impuissants de la scène, se sont précipités pour leur porter secours, mais le sort en avait déjà décidé autrement. Malgré leurs efforts courageux, ils n’ont pu sauver que l’un des trois enfants. Marianne et Pape, eux, ont disparu sous les flots.
La communauté de la Somone, soudée dans la douleur, s’est alors mobilisée pour aider les équipes de secours. Les sapeurs-pompiers de Mbour, arrivés sur place, ont mis près de deux heures pour localiser les corps sans vie des deux jeunes victimes, dont les dépouilles ont ensuite été transférées à l’hôpital Thierno Mouhamadou Mansour Barro.
Pour les proches et voisins, cette double perte est d’autant plus insoutenable qu’elle semblait si improbable. Selon les témoignages recueillis par L’Observateur, ce dimanche matin était comme tous les autres dans ce quartier où les enfants jouent habituellement ensemble, insouciants. Mais cette fois, l’inconnu et le danger de la mer leur ont ravi deux des leurs.
Les habitants, dans une union poignante, pleurent Marianne et Pape, des enfants à l’avenir brisé par la force implacable des vagues. Ce drame marque durement la Somone, rappelant que même les instants de pure insouciance peuvent se transformer en tragédie.