Le président de Bës du Ñakk est devenu extrêmement critique envers le gouvernement. Serigne Mansour Sy «Djamil» a fait une «Déclaration de Paris» intitulée «De la justice à la raison du plus fort» dans laquelle il ne rate pas le président de la République. «Le peuple sénégalais est fervent dans l’admiration, ce qui explique la profondeur de leur foi à en El Hadj Malick Sy et Serigne Touba. Mais une fois son espérance déçue, il est impitoyable. Il devient amer, vindicatif. Avec ‘‘Sopi’’ il avait tout misé sur Abdoulaye Wade dont la magie du verbe enjôleur le fascinait et lui promettait une société heureuse et harmonieuse enfin purgée de ses venins et de ses turpitudes. Le peuple croyait avoir élu enfin un Président à la hauteur de la fonction. Brutal a été le réveil : Le Sénégal est tombé sur un Président élu par infraction, du fait de la bêtise de Bennoo Siggil Sénégal dont les leaders se sont faits hara-kiri et nous ont offert le spectacle attristant d’un suicide de baleines. Le nouveau Président souffrant d’une sérieuse impréparation».
Le marabout-politicien ne s’en tient pas là. Encore plus virulent, il écrit : «contrairement à ce que ses médias de service veulent faire passer dans l’opinion, Macky Sall est politiquement le plus affaibli de tous les présidents depuis l’Indépendance. Il n’a ni l’expérience, ni la préparation de ses prédécesseurs, mais il est l’héritier du passif de Wade. Il est vrai qu’il a un puissant trésor de guerre, de quoi acheter le ciel et la terre. Il n’est fort que de la faiblesse de ses adversaires, avec une stratégie politique qui repose essentiellement sur la transhumance, des religieux et des politiques».
Pour «Djamil», il faut s’atteler à organiser une alternative, «la vraie cette fois-ci, avec un Président aux compétences étatiques avérées constant dans ses positions apportant des solutions aux problèmes du pays. Il aura été choisi parce que réunissant notoriété, charisme et crédibilité. Ce sera un homme (ou une femme) équidistant de tous les lobbies qui gangrènent la vie politique de notre pays depuis toujours. Cette alternative offrira aux Sénégalais un leadership qui donnera une autonomie de décision et la capacité ‘’d’ordonner le réel’’ pour parler comme notre compatriote Felwine Sarr». Et il positionne Bës Du Ñakk : «Bës Du Ñakk, vu l’état de déliquescence des forces de transformation sociale, offre des structures d’accueil pour ces Sénégalais désorientés, désespérés et déçus ; mais convaincus de l’avènement de lendemains meilleurs et qui cherchent, avec optimisme, une issue à leur désarroi. Bës Du Ñakk redéfinit ce que doit être la culture commune de la Gauche à travers une offre politique nouvelle pour les Sénégalais qui ne repose pas sur une communauté d’intérêts égoïstes, mais sur une communauté de destin. Offrir un nouveau paradigme pour enfin être à la hauteur de la grande exigence de changement que nous vivons depuis l’époque du ‘‘Sopi’’. Bës Du Ñakk entend contribuer en bonne place à cette alternative en construction, armé d’une éthique à l’image du grand théologien de Damas du 13ème siècle, Ibn Taymiyya, qui disait : ‘’La valeur d’un pouvoir est déterminée par les qualités morales personnelles des hommes qui assument le pouvoir’’ et ‘’Si le détenteur du pouvoir est sain alors les affaires des hommes le seront également, mais s’il est corrompu, alors les affaires des hommes le seront tout autant’’».
Le marabout-politicien ne s’en tient pas là. Encore plus virulent, il écrit : «contrairement à ce que ses médias de service veulent faire passer dans l’opinion, Macky Sall est politiquement le plus affaibli de tous les présidents depuis l’Indépendance. Il n’a ni l’expérience, ni la préparation de ses prédécesseurs, mais il est l’héritier du passif de Wade. Il est vrai qu’il a un puissant trésor de guerre, de quoi acheter le ciel et la terre. Il n’est fort que de la faiblesse de ses adversaires, avec une stratégie politique qui repose essentiellement sur la transhumance, des religieux et des politiques».
Pour «Djamil», il faut s’atteler à organiser une alternative, «la vraie cette fois-ci, avec un Président aux compétences étatiques avérées constant dans ses positions apportant des solutions aux problèmes du pays. Il aura été choisi parce que réunissant notoriété, charisme et crédibilité. Ce sera un homme (ou une femme) équidistant de tous les lobbies qui gangrènent la vie politique de notre pays depuis toujours. Cette alternative offrira aux Sénégalais un leadership qui donnera une autonomie de décision et la capacité ‘’d’ordonner le réel’’ pour parler comme notre compatriote Felwine Sarr». Et il positionne Bës Du Ñakk : «Bës Du Ñakk, vu l’état de déliquescence des forces de transformation sociale, offre des structures d’accueil pour ces Sénégalais désorientés, désespérés et déçus ; mais convaincus de l’avènement de lendemains meilleurs et qui cherchent, avec optimisme, une issue à leur désarroi. Bës Du Ñakk redéfinit ce que doit être la culture commune de la Gauche à travers une offre politique nouvelle pour les Sénégalais qui ne repose pas sur une communauté d’intérêts égoïstes, mais sur une communauté de destin. Offrir un nouveau paradigme pour enfin être à la hauteur de la grande exigence de changement que nous vivons depuis l’époque du ‘‘Sopi’’. Bës Du Ñakk entend contribuer en bonne place à cette alternative en construction, armé d’une éthique à l’image du grand théologien de Damas du 13ème siècle, Ibn Taymiyya, qui disait : ‘’La valeur d’un pouvoir est déterminée par les qualités morales personnelles des hommes qui assument le pouvoir’’ et ‘’Si le détenteur du pouvoir est sain alors les affaires des hommes le seront également, mais s’il est corrompu, alors les affaires des hommes le seront tout autant’’».