Si sa carrière de footballeur est connue de tous, sa vie sentimentale reste un mystère. Sa grande-sœur, Ramatoulaye Mbodji, a un peu levé un coin du voile. «Il me parle des fois de ses relations amoureuses. Il m’a une fois présenté une de ses copines, quand on était plus jeunes et voilà», déclare la frangine, qui décrit le profil de femme que cherche son petit frangin. «Serigne Modou est un homme ouvert, c’est la raison pour laquelle, il veut une épouse généreuse et sociale aussi». Même si sa relation avec Kara est parfois comme entre chien et chat, Rama souligne que c’est une fierté pour elle de l’avoir comme frère. «Nous ne manquons de rien. Il nous a donné un chéquier et chaque fin du mois, on prend tout ce qu’on veut». dit-elle.
ABDOULAYE MBODJI, JAMAIS LOIN DE SON FRERE
«Le jour où on a joué ensemble et que je lui ai remis le brassard»
Ainé de la famille Mbodji, Abdoulaye a filé le virus du football à son jeune frère Kara. Joueur polyvalent, capable de jouer au milieu et en défense, Abdoulaye Mbodji a fait les beaux jours de l’Asc Rakadiou de Mbour.
«Il est né avec l’amour du foot». C’est ce qu’a fait savoir d’emblée Abdoulaye Mbodji, ancien joueur de Rakadiou. Ce dernier, très habile avec le ballon, a transmis ce virus à son jeune frère. «Il nettoyait mes godasses à la maison et en faisait de même pour les autres en regroupement», indique Abdoulaye Mbodji. Ce dernier de faire une confidence sur son frangin. «Un jour, il m’a juré qu’il va nous entretenir avec l’argent du football. Il le disait avec une grande détermination. Le résultat est là», dit-il. Sur sa relation avec Kara Mbodji, il indique qu’ils sont très proches. «Kara, on partage tout», lance-t-il.
«Je le rectifie après chaque match»
Mais cela n’empêche pas le grand frère d’être exigeant avec le petit frère. «J’essaie de le rectifier après chaque match. Il avait cette manie d’aller trop souvent au sol. Je l’ai aidé à gommer ce défaut. Depuis lors, il est rare de le voir au sol dans ses matchs», indique-t-il avant de vanter les qualités de gagneur de Kara. «C’est un gagneur, un meneur d’hommes qui a horreur de perdre. Sur le terrain, il ne digère pas ceux qui trichent. Jamais», dit-il.
«Il est rare de le voir au sol dans ses matchs»
Ablaye garde un souvenir de son frangin: «le jour où on a joué ensemble au Navétane, je ne l’oublierai jamais. Il est entré en cours de jeu et a joué comme axe central. Par la suite, je lui ai remis mon brassard de capitaine. Et ça été un moment très fort. Un match que nous avons d’ailleurs gagné».
«Le jour où on a joué ensemble et que je lui ai remis le brassard»
Ainé de la famille Mbodji, Abdoulaye a filé le virus du football à son jeune frère Kara. Joueur polyvalent, capable de jouer au milieu et en défense, Abdoulaye Mbodji a fait les beaux jours de l’Asc Rakadiou de Mbour.
«Il est né avec l’amour du foot». C’est ce qu’a fait savoir d’emblée Abdoulaye Mbodji, ancien joueur de Rakadiou. Ce dernier, très habile avec le ballon, a transmis ce virus à son jeune frère. «Il nettoyait mes godasses à la maison et en faisait de même pour les autres en regroupement», indique Abdoulaye Mbodji. Ce dernier de faire une confidence sur son frangin. «Un jour, il m’a juré qu’il va nous entretenir avec l’argent du football. Il le disait avec une grande détermination. Le résultat est là», dit-il. Sur sa relation avec Kara Mbodji, il indique qu’ils sont très proches. «Kara, on partage tout», lance-t-il.
«Je le rectifie après chaque match»
Mais cela n’empêche pas le grand frère d’être exigeant avec le petit frère. «J’essaie de le rectifier après chaque match. Il avait cette manie d’aller trop souvent au sol. Je l’ai aidé à gommer ce défaut. Depuis lors, il est rare de le voir au sol dans ses matchs», indique-t-il avant de vanter les qualités de gagneur de Kara. «C’est un gagneur, un meneur d’hommes qui a horreur de perdre. Sur le terrain, il ne digère pas ceux qui trichent. Jamais», dit-il.
«Il est rare de le voir au sol dans ses matchs»
Ablaye garde un souvenir de son frangin: «le jour où on a joué ensemble au Navétane, je ne l’oublierai jamais. Il est entré en cours de jeu et a joué comme axe central. Par la suite, je lui ai remis mon brassard de capitaine. Et ça été un moment très fort. Un match que nous avons d’ailleurs gagné».