Si nous vivions avec le virus, comme nous y invitait Niangal, le virus vit par nous. Nous l’engraissons et lui donnons beaucoup de grain à moudre. Bref, depuis qu’il a atterri à l’Aibd, le 2 mars 2019, le coronavirus s’en est donné à cœur joie, faisant preuve d’un appétit gargantuesque. Et...