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MENACES SUR L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR Le Saes exige le respect du protocole d’accord et déplore les violences, saccages, arrestations excessives d’enseignants, d’élèves et d’étudiant



MENACES SUR L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR Le Saes exige le respect du protocole d’accord et déplore les violences, saccages, arrestations excessives d’enseignants, d’élèves et d’étudiant

 
 
 
Que le gouvernement se le tienne pour dit ! Le respect du protocole d’accord entre le Saes et le gouvernement est non négociable pour garantir la stabilité dans l’enseignement supérieur. C’est la position exprimée par le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur, qui a aussi condamné toutes les formes de violences, les saccages, ainsi que les arrestations excessives de certains citoyens dont des enseignants, des élèves et des étudiants.
 
 
 
En plus d’un climat sociopolitique tendu, le front éducatif risque de s’inscrire dans cette dynamique avec des menaces de grèves de syndicats d’enseignants. C’est le cas du Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes). En effet, au terme des rencontres de vendredi et samedi du bureau national et du secrétariat national dudit syndicat, portant sur l’application du protocole d’accord Saes-Gouvernement du 6 janvier dernier, la situation dans les universités publiques ainsi que la crise politique nationale, le bureau national du Saes constate avec amertume, d’une part, les lenteurs dans l’application de certains points du protocole d’accord et, d’autre part, le non-respect d’autres, arrivés à échéance, malgré les interpellations faites au ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (Mesri). «Le Saes rappelle au Mesri que, malgré son ouverture au dialogue, le respect du protocole est non négociable pour garantir la stabilité dans l’enseignement supérieur», fait remarquer le bureau national du Saes qui interpelle, dans la foulée, le ministre Moussa Baldé pour une application diligente de l’ensemble des points du protocole d’accord, conformément à l’agenda défini ensemble. «Le Saes reste plus que jamais déterminé et mobilisé pour le règlement définitif de ces questions tout en restant ouvert au dialogue. En cas de non-respect des engagements pris par le Gouvernement, le Saes dégage ses responsabilités sur toutes les conséquences qui en découleront», précise le bureau national.
Poursuivant, le Saes a mis en exergue les difficultés dans certaines universités publiques qui ont pour noms : le déficit budgétaire et de personnel d’enseignement et de recherche, une insuffisance notoire d’infrastructures pédagogiques et sociales, les effectifs pléthoriques d’étudiants dans les départements, etc. Le secrétariat national a en outre noté l’inertie jugée «incompréhensible» de certains recteurs, qui assure-t-il, ne fera que conduire vers des tensions et des perturbations dans les universités publiques.
 
Le Saes déplore les violences, saccages, arrestations excessives d’enseignants, d’élèves et d’étudiants
 
Par ailleurs, le climat politique tendu n’a pas été passé sous silence par le Saes. «Le Saes condamne fermement toutes les formes de violences, les saccages, ainsi que les arrestations excessives de certains citoyens dont des enseignants, des élèves et des étudiants», déplore le syndicat de l’enseignement supérieur, avant de rappeler que «la compétition politique doit obéir aux lois et règlements de notre République et auxquelles tous les acteurs sont soumis». Aussi, il invite l’État à garantir la sécurité des personnes et des biens dans le strict respect de la loi, des droits et des libertés de tous les citoyens sénégalais, sans distinction, pour la paix et la stabilité sociale.
 
 
M. CISS
 
 
 
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