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La migration en Afrique de Noirs américains pour fuir le racisme



La migration en Afrique de Noirs américains pour fuir le racisme
Le retour sur le continent de la diaspora africaine, en particulier d’Amérique, est un sujet très sensible. La question raciale est au centre des préoccupations aux Etats-Unis. Alors, des Afro-américains migrent vers l’Afrique pour fuir le racisme.
Le Ghana est le pays qui a vu le plus d’arrivées d’Afro-américains, en raison d’une politique volontariste d’incitation à l’installation. En 2000, le pays a adopté une loi sur le droit de résidence aux personnes d’ascendance africaine. Mais si cela fonctionne, les arrivées ne sont pas aussi importantes que ce que pouvaient espérer les autorités. Certains pensent que les médias ont leur part de responsabilité, noircissant le tableau de l’installation. Mais la paperasserie n’a pas facilité les choses. Et certains candidats attendent une réponse favorable depuis des années.
Beaucoup de ces migrants venus des Etats-Unis ont fui le manque de considération, voire même le racisme régnant dans le pays. Ainsi, Jérôme Thompson a quitté le Maryland pour prendre sa retraite au Ghana. Il témoigne sur Afrique Renouveau. «J’avais tellement envie de couper les ponts avec les Etats-Unis», affirme-t-il. «Nous avons tant fait pour les USA, mais ils ne nous considèrent pas comme des citoyens égaux.» Et d’ajouter: «C’était bon de voir des Noirs, des gens comme moi aux commandes du pays.»
La quête des racines
On estime à 3000 le nombre d’Afro-Américains qui se sont installés au Ghana. Une goutte d’eau dans ce pays de 26 millions d’habitants. L’installation traduit surtout chez certains le besoin d’aller jusqu’au bout de la quête de leurs racines. Cela commence souvent par un test génétique. Or, le Ghana était le principal point de départ des15 millions d’esclaves d’Afrique.
Selon la chaîne de télévision Al-Jazeera, «une nouvelle vague d’Afro-Américains fuit le racisme permanent et les préjudices subis aux Etats-Unis». A contre-courant de la tendance générale de la migration vers les pays riches, une nouvelle communauté émerge au Sénégal, en Gambie ou au Ghana.
Peu de candidats
Mais les chiffres ont la vie dure. Al-Jazeera donne une fourchette de 3 à 5000 Afro-Américains vivant à Accra, la capitale du Ghana. Aucun chiffre n’est avancé pour le Sénégal ou la Gambie. Force est de constater que ce mouvement de retour reste anecdotique.
L’installation n’en reste pas moins très motivée. Déjà, la vie au Ghana n’est pas toujours facile, selon les dires des migrants. Muhammida el-Muhajir a quitté New York pour Accra. Elle est partie, dit-elle, car malgré sa formation et son expérience, on lui faisait toujours sentir qu’elle était une citoyenne de second rang.
Outsiders
Migrer était pour elle une manière de développer son potentiel et de ne plus se sentir la cible de la violence raciale. «Même dans une ville comme New York, quand vous êtes noir, vous êtes toujours un citoyen de seconde zone (outsider). Je refuse d’être dans une situation où je ne pourrai jamais gagner.»
Clairement, le racisme vient en tête dans les témoignages recueillis pour justifier le départ des Etats-Unis. Pour autant, les chiffres sont peu significatifs. Le voyage en Afrique n’intéresse qu’une poignée d’Américains issus des classes moyennes, séduits par le mouvement de retour aux racines.
Jacques Deveaux
 


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