Cette élection présidentielle n’a pas fini de nous surprendre et l’on se demande bien ce qu’elle va encore nous servir d’ici au 25 février. En tout cas, en plus d’être inédite en ce que le président sortant organise une élection à laquelle il ne participe pas, du moins comme candidat, l’épisode de la validation des candidatures est à rebondissements. Déjà que la pléthore des candidats à la candidature avait fait tiquer plus d’un, l’intermède du mandataire Sisyphe Daffé à la Dge et au Cdc, édulcoré par la question de l’éligibilité de son candidat, avait attiré les projos sur Sunugaal. Et ça continue, puisque les recours et réclamations consécutifs à la publication de la liste des candidats retenus ont inondé le Conseil constitutionnel. Et parmi ceux-ci, cette scabreuse affaire de nationalité exclusive qui éclabousse l’exilé de Doha. Déjà candidat recalé en 2019, il se représente pour 2024 alors qu’il n’a été libéré de « son allégeance à la France » que ce 16 janvier. TAS qui a levé le lièvre subit les foudres de Rimka, mais ne lâche pas le morceau. On en oublie même le recours d’Oscar, dont le défaut d’attestation de la Cdc est la cause du rejet de son dossier, alors que… Le CC a bien du grain à moudre.
Waa Ji