Thierno Bocoum, Président du mouvement AGIR-les leaders, a publié une vive critique dénonçant le comportement et les déclarations du Premier ministre Ousmane Sonko concernant la crise en Guinée-Bissau, affirmant que cela constitue une « dérive inacceptable » en matière de politique étrangère.
Selon Thierno Bocoum, la réactivité et l’initiative du Président de la République face à la crise voisine rappellent clairement que l’autorité en matière de politique étrangère lui revient pleinement. Il salue la « compréhension lucide des enjeux sécuritaires » du Président et sa volonté d’agir avant que la situation ne dégénère.
L'auteur oppose cette action présidentielle aux déclarations du Premier ministre qui, selon lui, tente d’imposer une « diplomatie personnelle » alignée sur des régimes autoritaires. La critique porte principalement sur la sortie du Premier ministre à la tribune de l'Assemblée nationale, où il aurait choisi de parler de « combine ». Thierno Bocoum juge cette accusation « gratuite, à contretemps, à contre-raison et à contre-intérêt national », car elle laisserait entendre que le président bissau-guinéen constitutionnellement déchu serait en connivence avec ses putschistes.
Thierno Bocoum reproche également au Premier ministre d'avoir « rouvert inutilement les blessures » en réitérant ses anciennes diatribes contre la CEDEAO, au moment même où le Président du Sénégal est engagé dans un processus diplomatique avec cette même organisation pour stabiliser la situation à la frontière.
Il souligne que le communiqué officiel du ministère de l’Intégration africaine, publié le 27 novembre 2025, montre pourtant une « ligne claire, républicaine, responsable », condamnant la prise de pouvoir par la force et réclamant le rétablissement de l’ordre constitutionnel. Ce communiqué prouve, selon Thierno Bocoum, que le Président a personnellement conduit les échanges et assuré l'affrètement d'un aéronef gouvernemental.
En conclusion, le Président d’AGIR-les leaders estime que le Premier ministre « s’exonère de la solidarité gouvernementale et fragilise la position internationale du Sénégal » au moment où le pays a le plus besoin d’une « unité de doctrine ». Il l'accuse de s'éloigner du cap national et de placer son ego là où devrait se trouver le sens de l’État.
Selon Thierno Bocoum, la réactivité et l’initiative du Président de la République face à la crise voisine rappellent clairement que l’autorité en matière de politique étrangère lui revient pleinement. Il salue la « compréhension lucide des enjeux sécuritaires » du Président et sa volonté d’agir avant que la situation ne dégénère.
L'auteur oppose cette action présidentielle aux déclarations du Premier ministre qui, selon lui, tente d’imposer une « diplomatie personnelle » alignée sur des régimes autoritaires. La critique porte principalement sur la sortie du Premier ministre à la tribune de l'Assemblée nationale, où il aurait choisi de parler de « combine ». Thierno Bocoum juge cette accusation « gratuite, à contretemps, à contre-raison et à contre-intérêt national », car elle laisserait entendre que le président bissau-guinéen constitutionnellement déchu serait en connivence avec ses putschistes.
Thierno Bocoum reproche également au Premier ministre d'avoir « rouvert inutilement les blessures » en réitérant ses anciennes diatribes contre la CEDEAO, au moment même où le Président du Sénégal est engagé dans un processus diplomatique avec cette même organisation pour stabiliser la situation à la frontière.
Il souligne que le communiqué officiel du ministère de l’Intégration africaine, publié le 27 novembre 2025, montre pourtant une « ligne claire, républicaine, responsable », condamnant la prise de pouvoir par la force et réclamant le rétablissement de l’ordre constitutionnel. Ce communiqué prouve, selon Thierno Bocoum, que le Président a personnellement conduit les échanges et assuré l'affrètement d'un aéronef gouvernemental.
En conclusion, le Président d’AGIR-les leaders estime que le Premier ministre « s’exonère de la solidarité gouvernementale et fragilise la position internationale du Sénégal » au moment où le pays a le plus besoin d’une « unité de doctrine ». Il l'accuse de s'éloigner du cap national et de placer son ego là où devrait se trouver le sens de l’État.
Auteur: Seneweb News












