Ce sont sûrement les droits de l’hommistes qui vont se féliciter de cette nouvelle. Selon des informations que nous tenons de bonnes sources, la police des Parcelles Assainies, samedi dernier, avait commencé à laisser les blessés parmi ceux qui ont été arrêtés être soignés. Mais, rapportent nos sources, la police refusait qu’on leur apporte à manger. Certains parlent de violation grave des droits de ces personnes, actuellement dans les liens de la détention.












