Les responsables de l’école Abdoulaye Yakhine de Thiès ont arboré le sourire des grands jours. Et pour cause, l’eau coule à nouveau dans l’établissement, après trois longues années de coupure. Cela grâce au député Abdou Mbow qui a également offert un lot de masques et des thermo-flashs aux écoles de la ville, ainsi que des kits alimentaires aux populations.
Ça fait trois ans que le robinet n’avait plus coulé à l’école Abdoulaye Yakhine de Thiès, qui pourtant a vu passer plusieurs personnalités, dont l’actuel maire de la ville de Thiès, Talla Sylla. Désormais, c’est un vieux souvenir. Et pour cause, le député Abdou Mbow, saisi de la question, a réglé la facture impayée de près d’un million de F Cfa, permettant ainsi le retour de l’eau. Ce qui pour la directrice de l’établissement est une véritable délivrance, dans ce contexte de pandémie au coronavirus. Surtout qu’elle a failli même demander à la tutelle qu’on ferme l’école du fait de ce problème d’eau en cette période de pandémie. En outre, le député thiessois a offert un lot de masques et des thermo-flashs à l’école.
Répondre à l’appel du chef de l’Etat à accompagner les populations
«Nous avons voulu accompagner l’école Abdoulaye Yakhine qui avait un problème d’eau depuis trois ans, pour que la Sen’Eau puisse amener l’eau. Il y avait une facture impayée de presque 800.000 F Cfa que nous avons prise en charge, pour que les élèves puissent venir à l’école dans les meilleures conditions. On ne peut pas parler de mesures barrières sans lavage des mains ; et il ne peut pas y avoir de lavage de main sans eau», a déclaré Abdou Mbow. Qui ajoute qu’en plus de cette action, il a offert un lots de 3000 masques et de thermo-flashs aux écoles de la ville.
En outre, le député a voulu accompagner aussi les parents d’élèves, avec 5 tonnes de riz, du sucre, de l’huile, du savon. Cela, dit-il, «pour répondre à l’appel du chef de l’Etat d’accompagner les populations, mais surtout les autorités académiques, et renforcer les efforts déjà fournis par l’Etat pour une bonne reprise des enseignements». Quant aux doutes, inquiétudes et incertitudes qui entourent la reprise des cours, le député trouve cela normal, car c’est la situation de pandémie qui est elle-même entourée de doutes, d’incertitudes, du moment qu’il n’y a ni remède, ni vaccin contre le coronavirus. Dès lors, il appelle toutes les parties à la sérénité.
Mbaye THIANDOUM
Ça fait trois ans que le robinet n’avait plus coulé à l’école Abdoulaye Yakhine de Thiès, qui pourtant a vu passer plusieurs personnalités, dont l’actuel maire de la ville de Thiès, Talla Sylla. Désormais, c’est un vieux souvenir. Et pour cause, le député Abdou Mbow, saisi de la question, a réglé la facture impayée de près d’un million de F Cfa, permettant ainsi le retour de l’eau. Ce qui pour la directrice de l’établissement est une véritable délivrance, dans ce contexte de pandémie au coronavirus. Surtout qu’elle a failli même demander à la tutelle qu’on ferme l’école du fait de ce problème d’eau en cette période de pandémie. En outre, le député thiessois a offert un lot de masques et des thermo-flashs à l’école.
Répondre à l’appel du chef de l’Etat à accompagner les populations
«Nous avons voulu accompagner l’école Abdoulaye Yakhine qui avait un problème d’eau depuis trois ans, pour que la Sen’Eau puisse amener l’eau. Il y avait une facture impayée de presque 800.000 F Cfa que nous avons prise en charge, pour que les élèves puissent venir à l’école dans les meilleures conditions. On ne peut pas parler de mesures barrières sans lavage des mains ; et il ne peut pas y avoir de lavage de main sans eau», a déclaré Abdou Mbow. Qui ajoute qu’en plus de cette action, il a offert un lots de 3000 masques et de thermo-flashs aux écoles de la ville.
En outre, le député a voulu accompagner aussi les parents d’élèves, avec 5 tonnes de riz, du sucre, de l’huile, du savon. Cela, dit-il, «pour répondre à l’appel du chef de l’Etat d’accompagner les populations, mais surtout les autorités académiques, et renforcer les efforts déjà fournis par l’Etat pour une bonne reprise des enseignements». Quant aux doutes, inquiétudes et incertitudes qui entourent la reprise des cours, le député trouve cela normal, car c’est la situation de pandémie qui est elle-même entourée de doutes, d’incertitudes, du moment qu’il n’y a ni remède, ni vaccin contre le coronavirus. Dès lors, il appelle toutes les parties à la sérénité.
Mbaye THIANDOUM
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