Une horrible scène d’agression au couteau a eu lieu, avant-hier, vers 21h, sur le tronçon routier dénommé Tally Diallo sis à Thiaroye. Trois malfaiteurs à bord d’un scooter ont surpris un individu en bordure de la route et l’ont poignardé au bras et à la main, avant de lui arracher son téléphone portable.
Les voleurs à l’arraché de téléphones portables et autres matériels de valeur circulant à bord de scooter dans les artères de la banlieue dakaroise ont encore frappé contre un individu. Ce dernier a en effet osé engager une épreuve de force avec eux en refusant catégoriquement de leur filer son téléphone portable. Il tripotait sans cesse le cellulaire dans le clair-obscur de la nuit tombante en bordure de la route principale de Thiaroye Tally Diallo.
Il attire l’attention des voleurs à l’arraché avec son téléphone portable bien visible à la main
Avant-hier nuit, vers 21h, le bonhomme se trouve sur le bas-côté de la route et tient à la main son téléphone portable qu’il manipule à tout bout de champ. Mais, en agissant de la sorte, il ignore sans doute qu’il s’expose gravement à toutes sortes de pratiques et tentations délictuelles, à travers le reflet visible de la lumière de son portable. Ainsi, il renvoie l’image d’un gros gibier aux brigands embusqués ou l’odeur du sang frais aux «fauves» dans les parages.
Les malfrats chipent le cellulaire et disparaissent à bord d’un scooter, la victime blessée au bras et à la main
Pendant que le quidam s’active sur son téléphone, trois individus à bord d’un scooter surgissent de nulle part, foncent droit sur lui et tentent de lui arracher le portable. Mais, dans un brusque saut d’orgueil, le jeune garçon sursaute de stupeur, rattrape vite le cellulaire et refuse de lâcher prise. Un tiraillement éclate entre eux. Le bonhomme joue au dur à cuire et s’accroche à son portable comme à la prunelle de ses yeux. Mais, comme tout brigand qui abhorre les proies récalcitrantes, les trois assaillants froncent les sourcils, passent aussitôt au plan B, exhibent un couteau et profèrent des injures et des menaces de mort contre le jeune homme. Sans succès. Mais, craignant d’être surpris par les passants, l’un d’eux se jette sur le jeune garçon et le poignarde à deux reprises au bras et à la main. Ils parviennent à prendre le téléphone, enfourchent leur scooter et tentent de détaler.
Le garçon s’agrippe aux agresseurs et alerte le flic de faction qui active ses collègues de la Br en patrouille
Désemparé, le jeune homme refuse tout de même de se laisser faire, se rue sur les agresseurs et s’agrippe fortement à eux. Il se fait cependant traîner sur l’asphalte sur une courte distance par les malfaiteurs, qui redoutent la réaction spontanée et musclée des populations et s’emploient maintenant à se défaire vaille que vaille de l’étreinte de leur proie coriace. Qui s’agrippe toujours, pousse des cris d’au voleur à se casser les cordes vocales et finit par lâcher du lest. Il accourt vers l’agent de police de la circulation routière de faction et lui rapporte sa mésaventure.
Les policiers sauvent de justesse les brigands d’une mortelle expédition punitive des habitants
Le flic lui vient en aide et active ses collègues de la brigade de recherches en patrouille de sécurisation dans les environs. Ces derniers débarquent, se renseignent sur la destination des agresseurs et se lancent à leurs trousses. Mais, entre-temps, des jeunes du quartier qui suivaient la scène d’agression avaient enclenché une course-poursuite avec les malfaiteurs dans les rues avant de les coincer. Ils poussent des cris de ras-le-bol et menacent de les lyncher à mort. Les éléments de la brigade de recherches du commissaire de police Khadidiatou Sall arrivent à point nommé et interpellent les agresseurs. Mais, face à la clameur publique qui monte crescendo, les flics opérant en civil embarquent les voleurs et les conduisent sous bonne escorte au commissariat.
Les agresseurs déférés hier au parquet, l’arme de l’agression et le téléphone portable retrouvés
Les malfrats se nomment Bécaye Nd, 1989, Modou Nd, 20 ans, et El hadji. Après leur face-à-face avec les policiers enquêteurs, ils ont été présentés, hier, devant le procureur de la République du tribunal de grande instance de Pikine/Guédiawaye pour vol en réunion commis avec violences la nuit à bord d’un moyen de transport (scooter) et usage d’arme blanche (couteau). L’arme de l’agression physique suivie de vol et le téléphone portable ont été retrouvés.
Vieux Père NDIAYE
Les voleurs à l’arraché de téléphones portables et autres matériels de valeur circulant à bord de scooter dans les artères de la banlieue dakaroise ont encore frappé contre un individu. Ce dernier a en effet osé engager une épreuve de force avec eux en refusant catégoriquement de leur filer son téléphone portable. Il tripotait sans cesse le cellulaire dans le clair-obscur de la nuit tombante en bordure de la route principale de Thiaroye Tally Diallo.
Il attire l’attention des voleurs à l’arraché avec son téléphone portable bien visible à la main
Avant-hier nuit, vers 21h, le bonhomme se trouve sur le bas-côté de la route et tient à la main son téléphone portable qu’il manipule à tout bout de champ. Mais, en agissant de la sorte, il ignore sans doute qu’il s’expose gravement à toutes sortes de pratiques et tentations délictuelles, à travers le reflet visible de la lumière de son portable. Ainsi, il renvoie l’image d’un gros gibier aux brigands embusqués ou l’odeur du sang frais aux «fauves» dans les parages.
Les malfrats chipent le cellulaire et disparaissent à bord d’un scooter, la victime blessée au bras et à la main
Pendant que le quidam s’active sur son téléphone, trois individus à bord d’un scooter surgissent de nulle part, foncent droit sur lui et tentent de lui arracher le portable. Mais, dans un brusque saut d’orgueil, le jeune garçon sursaute de stupeur, rattrape vite le cellulaire et refuse de lâcher prise. Un tiraillement éclate entre eux. Le bonhomme joue au dur à cuire et s’accroche à son portable comme à la prunelle de ses yeux. Mais, comme tout brigand qui abhorre les proies récalcitrantes, les trois assaillants froncent les sourcils, passent aussitôt au plan B, exhibent un couteau et profèrent des injures et des menaces de mort contre le jeune homme. Sans succès. Mais, craignant d’être surpris par les passants, l’un d’eux se jette sur le jeune garçon et le poignarde à deux reprises au bras et à la main. Ils parviennent à prendre le téléphone, enfourchent leur scooter et tentent de détaler.
Le garçon s’agrippe aux agresseurs et alerte le flic de faction qui active ses collègues de la Br en patrouille
Désemparé, le jeune homme refuse tout de même de se laisser faire, se rue sur les agresseurs et s’agrippe fortement à eux. Il se fait cependant traîner sur l’asphalte sur une courte distance par les malfaiteurs, qui redoutent la réaction spontanée et musclée des populations et s’emploient maintenant à se défaire vaille que vaille de l’étreinte de leur proie coriace. Qui s’agrippe toujours, pousse des cris d’au voleur à se casser les cordes vocales et finit par lâcher du lest. Il accourt vers l’agent de police de la circulation routière de faction et lui rapporte sa mésaventure.
Les policiers sauvent de justesse les brigands d’une mortelle expédition punitive des habitants
Le flic lui vient en aide et active ses collègues de la brigade de recherches en patrouille de sécurisation dans les environs. Ces derniers débarquent, se renseignent sur la destination des agresseurs et se lancent à leurs trousses. Mais, entre-temps, des jeunes du quartier qui suivaient la scène d’agression avaient enclenché une course-poursuite avec les malfaiteurs dans les rues avant de les coincer. Ils poussent des cris de ras-le-bol et menacent de les lyncher à mort. Les éléments de la brigade de recherches du commissaire de police Khadidiatou Sall arrivent à point nommé et interpellent les agresseurs. Mais, face à la clameur publique qui monte crescendo, les flics opérant en civil embarquent les voleurs et les conduisent sous bonne escorte au commissariat.
Les agresseurs déférés hier au parquet, l’arme de l’agression et le téléphone portable retrouvés
Les malfrats se nomment Bécaye Nd, 1989, Modou Nd, 20 ans, et El hadji. Après leur face-à-face avec les policiers enquêteurs, ils ont été présentés, hier, devant le procureur de la République du tribunal de grande instance de Pikine/Guédiawaye pour vol en réunion commis avec violences la nuit à bord d’un moyen de transport (scooter) et usage d’arme blanche (couteau). L’arme de l’agression physique suivie de vol et le téléphone portable ont été retrouvés.
Vieux Père NDIAYE