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Une jeune sénégalaise accumule les distinction aux Etats-Unis: ​Rahma Ndao, une surdouée sénégalaise laissée en rade



Une jeune sénégalaise accumule les distinction aux Etats-Unis: ​Rahma Ndao, une surdouée sénégalaise laissée en rade
 
Si le Sénégal a longtemps été considéré comme une valeur sûre, ce n’est pas par des richesses du sous-sol, une industrie développée ou une agriculture florissante. Mais plutôt par la qualité de ses ressources humaines. Or, aujourd’hui, ces ressources humaines de qualité sont pour la plupart à l’étranger. Car, dans ce monde globalisé, les fils du pays qui sont allés se former à l’étranger dans des domaines quelquefois très pointus, peinent souvent à revenir au bercail, ne trouvant pas les conditions idoines pour un épanouissement dans leurs secteurs d’activités. Et ils sont nombreux, ces Sénégalais qui résident à l’étranger et dont le désir le plus cher est de rentrer au pays pour mettre leurs compétences au service de leur peuple.
Parmi ceux-là, nous évoquerons le cas de la jeune Rahma Ndao, née en 2002 aux Etats-Unis où ses parents, Ousmane Ndao et Aïssata Sall, sont installés depuis longtemps. Rahma est particulière, parce que c’est une surdouée, c’est-à-dire une personne dont l’intelligence est très loin au-dessus de la moyenne des gens ordinaires. Nous n’évoquerons pas son histoire, puisque la presse sénégalaise en avait parlé en 2018, lors de son séjour à Dakar.
Notre propos tend plutôt à attirer l’attention des autorités sénégalaises sur ce grand risque pour le pays de perdre cette tête bien faite, d’autant que Rahma Ndao, bien qu’ayant toutes les possibilités offertes dans l’environnement de ce pays, première puissance mondiale, où elle est née et a grandi, a préféré se tourner vers la terre de ses ancêtres afin de contribuer à son développement.
Il est donc incompréhensible que, malgré les efforts déployés par cette fille et par ses parents, aucune oreille attentive n’ait été prêtée à leur vœu commun de simple reconnaissance par un Etat dont ils assurent au plan international la représentativité à un niveau insoupçonné et portent haut l’étendard dans des cercles scientifiques de renom.
Bien sûr que le Sénégal n’a ni les moyens, ni l’infrastructure scientifique pour permettre à Rahma Ndao de cultiver et d’exprimer son talent, mais du point de vue diplomatique, cette concitoyenne est en mesure de représenter dignement notre pays parmi ses pairs.
L’histoire récente de Diary Sow nous amène donc à demander au gouvernement et au-delà au chef de l’Etat, le Président Macky Sall, de porter une attention particulière à ces jeunes gens particulièrement doués, qui vivent ou se rendent à l’étranger pour poursuivre des études, afin que l’investissement que la nation a opérée en eux ne soit vain. Même si Rahma Ndao n’est pas dans ce cas, puisqu’elle est aussi bien Américaine que Sénégalaise et que tout son cursus s’est déroulé aux Etats-Unis, elle a fait un choix, celui du Sénégal. Et aujourd’hui, ses parents qui lui ont certainement montré la voie du patriotisme ne pourront pas indéfiniment résister à la pression des autorités américaines qui veulent bien garder Rahma dans leur giron. Même que sa mère, quelque peu dépitée par les tergiversations des autorités sénégalaises, fait désormais montre d’un découragement qui pourrait déteindre sur sa fille.
Alors, de grâce, Monsieur le Président de la République, répondez favorablement à la demande d’audience que Rahma Ndao vous a soumise par l’entremise du Consul général du Sénégal à New York et instruisez vos ministres de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et des Affaires étrangères de prendre en charge le dossier de cette enfant du Sénégal, qui peut valoir à son pays d’énormes satisfactions.
Mansour KANE

UNE JEUNE SENEGALAISE ACCUMULE LES DISTINCTIONS AUX ETATS-UNIS
 Rahma Ndao encore honorée par l’Alliance des éducateurs noirs de l’Etat d’Ohio pour ses performances universitaires très largement au-dessus de la moyenne
 
«Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années». Ce dicton, l’Alliance des éducateurs noirs de l’Etat d’Ohio aux Etats-Unis n’en a pas douté un seul instant. Pour preuve, samedi, elle a honoré notre compatriote Rahma Ndao pour ses performances universitaires très largement au-dessus de la moyenne, alors qu’elle venait d’intégrer l’université cette année. Première Sénégalaise membre de la prestigieuse et très sélective Mensa, l’organisation internationale regroupant ceux qui ont un coefficient intellectuel dépassant les 98%, notre compatriote continue de faire la fierté du Sénégal à l’étranger. Toutefois, malgré qu’elle ait renoncé à beaucoup de faveurs de la part de l’Etat américain, pour représenter son pays d’origine, les autorités sénégalaises semblent être distantes à son égard.
 
 
Née aux Etats-Unis de parents d’origine sénégalaise, Rahma Ndao fait partie des jeunes cracks sénégalais vivant à l’étranger. Samedi dernier, à l’occasion de la conférence annuelle de l’Alliance des éducateurs noire d’Ohio aux Usa, la fille de Ousmane et de Aissata Sall a été honorée en présence de plusieurs dignitaires de la ville. Ceci en guise de reconnaissance des efforts et performances de la jeune fille qui, en dehors de ses heures scolaires, anticipait déjà des cours dans le supérieur avant d’intégrer l’université cette année. Il faut dire qu’à l'âge précoce de 12 ans, Rahma donnait déjà des signes révélateurs lorsqu’elle manipulait devant ses professeurs des notions qui dépassent son âge, comme la théorie quadratique en mathématiques. En 2013-2014, Rahma Ndao avait eu une moyenne de 99% au Scranton Test. Ce qui faisait d’elle l’une des meilleurs élèves. Au test de Pickerington Ridgeview passé en 2015, elle a dépassé les 126 points.
Des dispositions que les autorités américaines n’ont pas voulu négliger, décidant d’ailleurs par la suite de la faire intégrer le Mensa/Usa, une organisation qui regroupe des jeunes surdoués américains pour un meilleur encadrement et une optimisation de leurs potentialités.
 
 
Rahma Ndao a quitté le Mensa américain pour représenter le Sénégal au Mensa international
 
 
Sa «Sénégalité», Rahma la clame haut et fort. D’ailleurs, elle l’a matérialisée de fort belle manière lorsque, dans un élan de patriotisme remarquable, notre compatriote avait finalement quitté le Mensa/Usa pour représenter le Sénégal au Mensa International. Par ce geste, elle est devenue la première et seule Sénégalaise à intégrer ce cercle trié sur le volet depuis la création de l’organisme en 1946. Le Sénégal rejoint ainsi l’Afrique du Sud. Ce sont les deux seuls pays africains présents au Mensa. Depuis lors, Rahma «la miséricorde» a perdu beaucoup de privilèges en termes d’encadrement et de bourse de la part des autorités du pays de l’oncle Sam, qui pourtant n’ont toujours pas lâché prise et continuent de relancer sa famille sur ce sujet.
 
Macky Sall n’a pas répondu à sa lettre ni ne l’a reçue lors de son déplacement au Sénégal
 
Malheureusement, les autorités sénégalaises ne semblent pas donner une importance à la question de la représentativité. En effet, la famille Ndao avait écrit au Président Macky Sall pour une reconnaissance de leur enfant par la nation sénégalaise ; il n’y eut aucune réponse malgré l’accusé de réception qui leur avait été transmis par le Consulat général de New York. Par la suite, la jeune fille s’était déplacée en 2018 au Sénégal et avait sollicité une audience directe avec le président de la République, en vain. Pourtant, aujourd’hui, dans un contexte où l’employabilité des jeunes et leur formation est au premier plan dans l’agenda gouvernemental du Sénégal, le cas Rahma Ndao aurait pu servir d’exemple à ses pairs de la jeunesse.
 
Ahmadou Ben Cheikh KANE (Correspondant permanent)
 
 
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