Quand on parle du loup, il sort du bois ! Une maxime qu’on peut coller à Ousmane Tanor Dieng. Ce dernier, après avoir été au centre du débat politique au Ps et dans le pays de manière générale, avec l’exclusion de plusieurs dizaines de ses camarades, est sorti hier de son silence. Et c’est pour enfoncer les exclus, assumer la décision prise par le Bureau politique du Ps et clamer sa toute puissance et son indifférence par rapport aux réactions et attaques de ses détracteurs, principalement les exclus. «Ces camarades se sont comportés comme de vrais opposants à notre parti. D'abord, pour certains, en ne participant pas aux réunions. Pour d'autres, ils ont passé leur temps à dénigrer le parti, à s'opposer à toutes les décisions qui ont été prises dans un cadre démocratique», a campé d’emblée le patron des socialistes, qui recevait une délégation de l’Union régionale socialiste de Kaffrine conduite par son secrétaire général, Abdoulaye Wilane, par ailleurs porte-parole du Ps et inconditionnel de Tanor Dieng.
«Je fais ce que j'ai à faire avec quelquefois des erreurs, des fautes peut-être, mais j'ai foi en ce que je fais»
Et de poursuivre : «quand on doit prendre des décisions importantes, la main ne doit pas trembler. Il ne faut pas que l'on se trompe de personne. Je ne suis pas le genre qu'on intimide ou qu'on impressionne. Ce n'est pas mon genre. Je fais ce que j'ai à faire avec quelquefois des erreurs, des fautes peut-être, mais j'ai foi en ce que je fais et je suis convaincu que je le fais dans l'intérêt du Parti socialiste».
Tout comme le socialiste en chef, Abdoulaye Wilane n’éprouve aucun regret suite à l’exclusion de Khalifa Sall et Cie du Parti socialiste. «Nous assumons la décision qui a été prise concernant l’exclusion des camarades et nous sommes déterminés à aller de l’avant», a martelé le porte-parole du Ps.
Mbaye THIANDOUM
«Je fais ce que j'ai à faire avec quelquefois des erreurs, des fautes peut-être, mais j'ai foi en ce que je fais»
Et de poursuivre : «quand on doit prendre des décisions importantes, la main ne doit pas trembler. Il ne faut pas que l'on se trompe de personne. Je ne suis pas le genre qu'on intimide ou qu'on impressionne. Ce n'est pas mon genre. Je fais ce que j'ai à faire avec quelquefois des erreurs, des fautes peut-être, mais j'ai foi en ce que je fais et je suis convaincu que je le fais dans l'intérêt du Parti socialiste».
Tout comme le socialiste en chef, Abdoulaye Wilane n’éprouve aucun regret suite à l’exclusion de Khalifa Sall et Cie du Parti socialiste. «Nous assumons la décision qui a été prise concernant l’exclusion des camarades et nous sommes déterminés à aller de l’avant», a martelé le porte-parole du Ps.
Mbaye THIANDOUM