Ngor à feu et à gaz lacrymogène

 
Pour rester avec cette affaire qui mettait Ngor à feu et à lacrymogène, disons que les gosses croyaient mener un djihad. En plus des insultes envers les gendarmes, certains criaient pendant qu’ils balançaient les pierres, des : «Takbir Allahu Akbar» à n’en plus finir. Mais les gendarmes étaient intraitables, sans pitié. Ils ont réussi à les repousser jusqu’au fin fond des coins et recoins de Ngor, libérant ainsi la voie et permettant aux véhicules de circuler du côté de cet axe. Espérons qu’ils ne vont pas essayer de remettre ça aujourd’hui.