Devant l’Assemblée nationale pour défendre le projet de loi N°04/2022 modifiant la loi N°2021-35du 23 juillet 2021 portant Code électoral, Antoine Diome a fustigé le fait que l’opposition fasse volte-face après le consensus obtenu autour de la question de l’augmentation du nombre de députés. Mais Cheikh Dieng, qui représentait la coalition Wallu Sénégal à ces concertations avec le ministre de l’Intérieur,affirme qu’il n’a jamais été question de consensus.«Nous avons pris part à ces discussions et notre position n’à jamais varié. Le ministre de l’Intérieur n’a pas été fidèle dans la restitution des faits avec le projet de loi», atenu à préciser le plénipotentiairede Wallu.Poursuivant, le chargé des élections du Parti démocratique sénégalais souligne que Wallu Sénégal était aussi bien contrel’augmentation du nombre de députésque la diminution du nombre de députés sur la liste nationale. «Nous avions défendu devant Antoine Diome et tous les autres pôles qu’il n’était pas opportun d’augmenter lesdéputes et provoquer des dépenses de plus pour le contribuable sénégalais», prévient M. Dieng.
De la même façon, explique l’ancien maire de Djeddah Thiaroye Kao, nous ne voudrions pas qu’on touche aux acquis. «Diminuer le nombre de députés sur la liste nationale pénalise les petites formations», souligne Cheikh Dieng qui affirme que Wallu souhaitait qu’au lieu de tabler sur 70.000 habitants pour un député, qu’on le porteà 200.000 pour tous les autres départements qui devaient bénéficier d’un autre député.
NdèyeKhadyDIOUF
De la même façon, explique l’ancien maire de Djeddah Thiaroye Kao, nous ne voudrions pas qu’on touche aux acquis. «Diminuer le nombre de députés sur la liste nationale pénalise les petites formations», souligne Cheikh Dieng qui affirme que Wallu souhaitait qu’au lieu de tabler sur 70.000 habitants pour un député, qu’on le porteà 200.000 pour tous les autres départements qui devaient bénéficier d’un autre député.
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