De plus en plus présents dans notre quotidien, les réseaux sociaux comportent plusieurs dangers surtout chez les jeunes. Hier, lors du panel organisé par le mouvement ‘’Y’’, sur le thème :’’réseaux sociaux : opportunités et risques’’, les spécialises des réseaux sociaux ont tenu à avertir la novelle génération sur les dangers que comportent ces plateformes.
Fanta Diallo, sociologue et activiste, lance le débat : « nous sommes quasiment plus de 15 millions de personnes à utiliser les réseaux sociaux et sans pour autant être au courant des dangers que nous encourront. Les dangers sont multiples, notre pays a été émaillé au courant de l’année 2016—2017, par différents scandales via Whatsapp, Snapchat et Facebook. Et il est temps que nous puissions échanger surtout avec les jeunes sur ces thématiques. Le code pénal a changé aujourd’hui. Nous avons vu nos consœurs arrêtées sur cette base par rapport à l’utilisation de internet », lance-t-elle.
La sociologue déplore le fait que cette loi ne soit pas vulgarisée, partagée et amenée au niveau du citoyen le plus bas, pour que chacun puisse prendre ses dispositions pour éviter tout dérapage sur la toile.
A l’en croire, ces plateformes sont nouvelles et selon les chiffres donnés lors de la journée de l’Alphabétisme, on est à plus de 50% d’analphabètes. Et pourtant, aujourd’hui, ces derniers utilisent ces différents médias.
« Même s’ils n’ont pas étudié, ces analphabètes peuvent utiliser le vocal pour communiquer. Ils partagent des images et des vidéos, diffusent des informations alors qu’ils ne sont pas conscients des dangers qui les guettent, que ce soit sur le plan personnel ou sur le plan pénal », martèle-t-elle.
Pour elle, aujourd’hui, on ne sait pas le caractère privé de tel ou tel medium. Ce qui la pousse à dire qu’il est important que les spécialistes du domaine et du droit puissent éclaircir l’opinion sur ces thématiques.
Pour sa part, Tidiane Sow, docteur en mathématiques, soutient que le monde est devenu plus dangereux, surtout avec le réseau social Facebook. « Il faut savoir si vous passez cinq secondes sur le net, une seconde est passée sur Facebook. Nous perdons beaucoup de temps sur les réseaux sociaux. Et cela a un impact négatif sur notre productivité. L’usage d’un réseau social quelconque crée la dopamine, un neurone transmetteur qui est dans le cerveau et c’est la même chose que nous avons quand on fume ou on se drogue. C’est la même substance qui est libérée », souligne-t-il.
Walfquotidien
Fanta Diallo, sociologue et activiste, lance le débat : « nous sommes quasiment plus de 15 millions de personnes à utiliser les réseaux sociaux et sans pour autant être au courant des dangers que nous encourront. Les dangers sont multiples, notre pays a été émaillé au courant de l’année 2016—2017, par différents scandales via Whatsapp, Snapchat et Facebook. Et il est temps que nous puissions échanger surtout avec les jeunes sur ces thématiques. Le code pénal a changé aujourd’hui. Nous avons vu nos consœurs arrêtées sur cette base par rapport à l’utilisation de internet », lance-t-elle.
La sociologue déplore le fait que cette loi ne soit pas vulgarisée, partagée et amenée au niveau du citoyen le plus bas, pour que chacun puisse prendre ses dispositions pour éviter tout dérapage sur la toile.
A l’en croire, ces plateformes sont nouvelles et selon les chiffres donnés lors de la journée de l’Alphabétisme, on est à plus de 50% d’analphabètes. Et pourtant, aujourd’hui, ces derniers utilisent ces différents médias.
« Même s’ils n’ont pas étudié, ces analphabètes peuvent utiliser le vocal pour communiquer. Ils partagent des images et des vidéos, diffusent des informations alors qu’ils ne sont pas conscients des dangers qui les guettent, que ce soit sur le plan personnel ou sur le plan pénal », martèle-t-elle.
Pour elle, aujourd’hui, on ne sait pas le caractère privé de tel ou tel medium. Ce qui la pousse à dire qu’il est important que les spécialistes du domaine et du droit puissent éclaircir l’opinion sur ces thématiques.
Pour sa part, Tidiane Sow, docteur en mathématiques, soutient que le monde est devenu plus dangereux, surtout avec le réseau social Facebook. « Il faut savoir si vous passez cinq secondes sur le net, une seconde est passée sur Facebook. Nous perdons beaucoup de temps sur les réseaux sociaux. Et cela a un impact négatif sur notre productivité. L’usage d’un réseau social quelconque crée la dopamine, un neurone transmetteur qui est dans le cerveau et c’est la même chose que nous avons quand on fume ou on se drogue. C’est la même substance qui est libérée », souligne-t-il.
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