Une coupure d’électricité de quelques minutes s’est invitée dans la salle Flamboyant du King Fahd Palace à l’occasion du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’association internationale de développement (Ida 2020). Une coupure survenue durant le discours du Directeur des Opérations de la Banque mondiale Axel Van Trotsenburg et qui a plongé la salle dans le noir et dans un silence de cathédrale.
Une mauvaise publicité pour notre pays et le président Macky Sall. D’autant plus qu’il était entouré à cet effet de plusieurs de ses homologues de la sous-région. Il s’agit entre autre du président Denis Sassou Ngesso du Congo, du président du Nigéria Amadu Boiri, du président Emballo de la Guinée Bissau, de la présidente de Tanzanie, des vices-vice-président de la Côte d’Ivoire et de la Gambie.
Visiblement très embarrassé par cette coupure , le président Sall n’a pas tardé à s’insurger contre cet incident. «Cette coupure est un signe de contreperformance qui n’est pas acceptable par rapport à notre volonté d’émergence. C’est parce que quelque part, il y a quelqu’un qui n’a pas fait son travail », charge le chef de l’état avant de poursuivre : « En Afrique, on n’a pas la culture de la sanction. Je trouve que cet incident doit être sanctionné », martèle le président de la République qui révèle que pour une rencontre aussi importante, le Directeur de l’hôtel ne devrait pas accepter une situation pareille. Pour avancer, dit-il, il nous faut sanctionner lorsque ça ne marche pas.
A l’en croire, cette rencontre devait se tenir à Diamniadio qui a toutes les commodités, malheureusement avec la Tabaski, il y beaucoup de mouvements vers l’intérieur du pays, C’est pourquoi, nous avons dit-il voulu garder nos hôtes à Dakar.
Une mauvaise publicité pour notre pays et le président Macky Sall. D’autant plus qu’il était entouré à cet effet de plusieurs de ses homologues de la sous-région. Il s’agit entre autre du président Denis Sassou Ngesso du Congo, du président du Nigéria Amadu Boiri, du président Emballo de la Guinée Bissau, de la présidente de Tanzanie, des vices-vice-président de la Côte d’Ivoire et de la Gambie.
Visiblement très embarrassé par cette coupure , le président Sall n’a pas tardé à s’insurger contre cet incident. «Cette coupure est un signe de contreperformance qui n’est pas acceptable par rapport à notre volonté d’émergence. C’est parce que quelque part, il y a quelqu’un qui n’a pas fait son travail », charge le chef de l’état avant de poursuivre : « En Afrique, on n’a pas la culture de la sanction. Je trouve que cet incident doit être sanctionné », martèle le président de la République qui révèle que pour une rencontre aussi importante, le Directeur de l’hôtel ne devrait pas accepter une situation pareille. Pour avancer, dit-il, il nous faut sanctionner lorsque ça ne marche pas.
A l’en croire, cette rencontre devait se tenir à Diamniadio qui a toutes les commodités, malheureusement avec la Tabaski, il y beaucoup de mouvements vers l’intérieur du pays, C’est pourquoi, nous avons dit-il voulu garder nos hôtes à Dakar.
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