Mamadou D, chauffeur de Ndiaga-Ndiaye, a porté atteinte à l’intégrité physique de l’agent de police nommé M. Guèye. Le seul tort du policier est d’avoir confisqué les clés du véhicule du chauffeur en question – qui était ivre - et celles de son collègue. Tous les deux se livraient à une folle course-poursuite sur la route.
La confiscation des clés de véhicule Ndiaga-Ndiaye de deux chauffeurs par un agent de police pour indiscipline caractérisée sur la route a mal tourné pour l’homme de tenue.
Les cars Ndiaga-Ndiaye se livrent à une folle course-poursuite sur la route
Mercredi 4 janvier dernier, vers les coups de 12h, l’agent M. Guèye accomplit sa journée de travail et décide de rentrer à la maison. En service au commissariat d’arrondissement de Pikine, dans la banlieue dakaroise, Guèye est cependant détaché au marché central au poisson de la localité, où il est de garde. Alors que le policier est à bord d’un véhicule en route pourson domicile, il tombe sur deux véhicules de type Ndiaga-Ndiaye, qui roulent à tombeau ouvert,rivalisent d’indiscipline et se livrant à une folle course-poursuite sur la chaussée, à hauteur du stade Ngalandou Diouf de la ville de Rufisque ; une scène qui provoque un sauve-qui-peut, terrorise les passants et leur glace le sang.
Il immobilise les véhicules et remet les clés à son collègue de faction, qui tient à sévir
Face au sinistre spectacle des chauffeurs, l’agent intervient et fait immobiliser d’autorité les tombeaux roulants. En tenue correcte, il se présente devant les conducteurs, réclame les clés de leurs véhicules et les confisque. Il leur tourne ensuite le dos, aperçoit un de ses collègues de faction dans la circulation routière et lui remet les clés des cars. Il lui rapporte également au détail près les agissements délictuels des deux chauffeurs. Ces derniers réalisent la gravité de leur geste, font profil bas et sollicitent la magnanimité des deux agents. Qui refusent catégoriquement de céder.
Un des chauffeurs s’emporte, en veut au policier et l’abreuve de propos injurieux
Devant l’intransigeance de l’agent de faction, Mamadou D, conducteur du véhicule de marque Mercedes Benz immatriculé TC 8115 – A, craque et laisse éclater sa colère. Il abreuve d’insanités le policier M. Guèye, qui a immobilisé leurs véhicules, puis confisqué leurs clés respectives, avant de les remettre à son collègue de la circulation routière. Le chauffeur rumine sa rage et en veut à l’agent de police. Qui reste cependant inflexible devant les énormités du chauffeur et poursuit en toute sérénité son chemin.
Il disjoncte, se jette sur le limier, le roue de coups de poing et se fait arrêter
Puant l’alcool, le chauffeur s’indigne davantage devant le silence de mépris du policier, revient à la charge avec plus de virulence dans ses insultes. Il pète les plombs, se jette sur le limier et lui inflige des coups de poing d’acier. Et ceci devant l’agent de faction sur la route, qui est en service au commissariat de Rufisque. Les agents se mettent à deux sur le chauffeur et parviennent à l’interpeller. Ils le maîtrisent avec une paire de menottes et le conduisent au commissariat de police de la vieille ville.
Le policier se procure un certificat médical de 5 jours et dépose une lettre-plainte au commissariat de Rufisque contre son agresseur. Qui a été auditionné sur procès-verbal, placé en garde à vue, puis présenté devant le procureur du tribunal de grande instance de Rufisque pour les incriminations pénales retenues contre lui.
Vieux Père NDIAYE
La confiscation des clés de véhicule Ndiaga-Ndiaye de deux chauffeurs par un agent de police pour indiscipline caractérisée sur la route a mal tourné pour l’homme de tenue.
Les cars Ndiaga-Ndiaye se livrent à une folle course-poursuite sur la route
Mercredi 4 janvier dernier, vers les coups de 12h, l’agent M. Guèye accomplit sa journée de travail et décide de rentrer à la maison. En service au commissariat d’arrondissement de Pikine, dans la banlieue dakaroise, Guèye est cependant détaché au marché central au poisson de la localité, où il est de garde. Alors que le policier est à bord d’un véhicule en route pourson domicile, il tombe sur deux véhicules de type Ndiaga-Ndiaye, qui roulent à tombeau ouvert,rivalisent d’indiscipline et se livrant à une folle course-poursuite sur la chaussée, à hauteur du stade Ngalandou Diouf de la ville de Rufisque ; une scène qui provoque un sauve-qui-peut, terrorise les passants et leur glace le sang.
Il immobilise les véhicules et remet les clés à son collègue de faction, qui tient à sévir
Face au sinistre spectacle des chauffeurs, l’agent intervient et fait immobiliser d’autorité les tombeaux roulants. En tenue correcte, il se présente devant les conducteurs, réclame les clés de leurs véhicules et les confisque. Il leur tourne ensuite le dos, aperçoit un de ses collègues de faction dans la circulation routière et lui remet les clés des cars. Il lui rapporte également au détail près les agissements délictuels des deux chauffeurs. Ces derniers réalisent la gravité de leur geste, font profil bas et sollicitent la magnanimité des deux agents. Qui refusent catégoriquement de céder.
Un des chauffeurs s’emporte, en veut au policier et l’abreuve de propos injurieux
Devant l’intransigeance de l’agent de faction, Mamadou D, conducteur du véhicule de marque Mercedes Benz immatriculé TC 8115 – A, craque et laisse éclater sa colère. Il abreuve d’insanités le policier M. Guèye, qui a immobilisé leurs véhicules, puis confisqué leurs clés respectives, avant de les remettre à son collègue de la circulation routière. Le chauffeur rumine sa rage et en veut à l’agent de police. Qui reste cependant inflexible devant les énormités du chauffeur et poursuit en toute sérénité son chemin.
Il disjoncte, se jette sur le limier, le roue de coups de poing et se fait arrêter
Puant l’alcool, le chauffeur s’indigne davantage devant le silence de mépris du policier, revient à la charge avec plus de virulence dans ses insultes. Il pète les plombs, se jette sur le limier et lui inflige des coups de poing d’acier. Et ceci devant l’agent de faction sur la route, qui est en service au commissariat de Rufisque. Les agents se mettent à deux sur le chauffeur et parviennent à l’interpeller. Ils le maîtrisent avec une paire de menottes et le conduisent au commissariat de police de la vieille ville.
Le policier se procure un certificat médical de 5 jours et dépose une lettre-plainte au commissariat de Rufisque contre son agresseur. Qui a été auditionné sur procès-verbal, placé en garde à vue, puis présenté devant le procureur du tribunal de grande instance de Rufisque pour les incriminations pénales retenues contre lui.
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