Un appel a été lancé le 30 octobre dernier. Il s’agit d’un patient, se trouvant à l'hôpital de Thiaroye qui avait besoin de sang A+. Ainsi, il a été demandé à ceux qui sont des groupes A-, O- ou O+ de se présenter à l’hôpital de Thiaroye pour donner de leur sang afin de sauver des vies.
Dès le lendemain, c'est à dire le 31 octobre des frères de mouvements, parents, amis et de simples volontaires ont répondu à l’appel, en se présentant tôt le matin au Centre national de transfusion sanguine afin de donner un peu de leur sang. A la fin de la journée, il a été informé de la disponibilité d'environs 10 poches de sang, compatibles, suite à cet appel.
« A notre grande surprise, notre frère patient n'a reçu aucune goutte de sang depuis lors. Malgré les vas et viens incessant de son père entre l'hôpital et le CNTS, aucune information claire ne lui a été fournie. Et, il a été finalement sorti de l'hôpital ce 11 novembre sans recevoir une seule goutte de sang. On lui suggéra simplement, de se contenter de la vitamine B12 afin de combler le manque de sang », explique-t-on.
Ainsi, les autorités sanitaires du pays sont interpellées sur ce fait inadmissible. Et, les dénonciateurs tiennent pour responsable de tout ce qui arrivera à ce frère, les responsables du CNTS.
Dès le lendemain, c'est à dire le 31 octobre des frères de mouvements, parents, amis et de simples volontaires ont répondu à l’appel, en se présentant tôt le matin au Centre national de transfusion sanguine afin de donner un peu de leur sang. A la fin de la journée, il a été informé de la disponibilité d'environs 10 poches de sang, compatibles, suite à cet appel.
« A notre grande surprise, notre frère patient n'a reçu aucune goutte de sang depuis lors. Malgré les vas et viens incessant de son père entre l'hôpital et le CNTS, aucune information claire ne lui a été fournie. Et, il a été finalement sorti de l'hôpital ce 11 novembre sans recevoir une seule goutte de sang. On lui suggéra simplement, de se contenter de la vitamine B12 afin de combler le manque de sang », explique-t-on.
Ainsi, les autorités sanitaires du pays sont interpellées sur ce fait inadmissible. Et, les dénonciateurs tiennent pour responsable de tout ce qui arrivera à ce frère, les responsables du CNTS.