Après Pire, d’autres munitions volées ont été découvertes à Pékesse, village situé dans la commune de Mérina Dakhar, (département de Tivaouane). La saisie de 750 munitions a été faite mardi dernier, lors d’un contrôle de routine, sur un convoi en route pour Darou Mousty via Thilmakha.
Selon L’Observateur, trois personnes ont été déjà arrêtées, dont le présumé propriétaire de la marchandise, Cheikh Lô, et deux de ses collaborateurs. Serigne Saliou Ndiaye et Dame Diop ont été arrêtés, transportant des paquets « spéciaux », des balles supposées appartenir à l’Armée sénégalaise, comme lors de la première saisie.
Les mis en cause ont vite dénoncé leur patron, Cheikh Diop, un notable de Darou Mousty. Interrogés sur la provenance des munitions, ils confieront les avoir achetées dans une armurerie à Dakar, signale le journal. Lequel rapporte que le dossier a été transmis avant-hier jeudi, 7 novembre, aux enquêteurs de la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane. L’enquête suit son cours sur cette question de sécurité nationale voire internationale.
Déjà entendu, le présumé cerveau Cheikh Lô aurait expliqué avoir acquis les munitions pour respecter une tradition bien ancrée dans son terroir. « Il a fait savoir que lors des manifestations religieuses, ils ont l’habitude de tirer des balles en l’air », soutient des sources proches du dossier.
Dans la précédente affaire des munitions saisies à Pire, toujours dans le département de Tivaouane, et constituées de 4500 cartouches d’AK-47, le très connu fusil d’assaut russe, selon les précisions de la DIRPA, les deux convoyeurs, Maky Talla Ndiaye et Ahmed Ndiaye, ont été inculpés par le Doyen des juges d’instruction près le Tribunal de Grande instance de Dakar, Samba Sall, pour associations de malfaiteurs liée à une entreprise terroriste, détention illégale d’armes de munitions ».
Sur ce dossier, le ministère mauritanien de l’intérieur et de la Décentralisation, qui a réagi, a indiqué que les munitions volées puis saisies à Pire étaient destinées aux compétitions traditionnelles des clubs de tir à la cible.
Selon L’Observateur, trois personnes ont été déjà arrêtées, dont le présumé propriétaire de la marchandise, Cheikh Lô, et deux de ses collaborateurs. Serigne Saliou Ndiaye et Dame Diop ont été arrêtés, transportant des paquets « spéciaux », des balles supposées appartenir à l’Armée sénégalaise, comme lors de la première saisie.
Les mis en cause ont vite dénoncé leur patron, Cheikh Diop, un notable de Darou Mousty. Interrogés sur la provenance des munitions, ils confieront les avoir achetées dans une armurerie à Dakar, signale le journal. Lequel rapporte que le dossier a été transmis avant-hier jeudi, 7 novembre, aux enquêteurs de la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane. L’enquête suit son cours sur cette question de sécurité nationale voire internationale.
Déjà entendu, le présumé cerveau Cheikh Lô aurait expliqué avoir acquis les munitions pour respecter une tradition bien ancrée dans son terroir. « Il a fait savoir que lors des manifestations religieuses, ils ont l’habitude de tirer des balles en l’air », soutient des sources proches du dossier.
Dans la précédente affaire des munitions saisies à Pire, toujours dans le département de Tivaouane, et constituées de 4500 cartouches d’AK-47, le très connu fusil d’assaut russe, selon les précisions de la DIRPA, les deux convoyeurs, Maky Talla Ndiaye et Ahmed Ndiaye, ont été inculpés par le Doyen des juges d’instruction près le Tribunal de Grande instance de Dakar, Samba Sall, pour associations de malfaiteurs liée à une entreprise terroriste, détention illégale d’armes de munitions ».
Sur ce dossier, le ministère mauritanien de l’intérieur et de la Décentralisation, qui a réagi, a indiqué que les munitions volées puis saisies à Pire étaient destinées aux compétitions traditionnelles des clubs de tir à la cible.