Voyage sur Bafoussam
«On a voyagé en laissant derrière nous sept joueurs. Malheureusement, ils ne pouvaient pas se déplacer pour des raisons qu’on connait tous. La préparation à Dakar s’est bien passée pendant une grosse semaine, après on est allé chercher le drapeau national. Mais avant de décoller, on a fait des tests PCR sur place. Il s’est avéré que quelques membres du staff et de l’équipe sont positifs. Cela ne nous a pas empêchés de voyager. C’était une journée un peu longue, mais on est bien arrivés. Les garçons se sont bien reposés. Cet après-midi, on a pu faire notre première séance. Demain, on effectuera une autre séance. Le moral est au beau fixe. Nous espérons récupérer le reste du groupe d’ici la fin de cette semaine.»
Cas de Covid et blessés de la tanière
«Nous avons constitué une équipe depuis deux ans pour pallier les absences. Aujourd’hui, l’équipe nationale du Sénégal, en termes de qualité, de quantité, nous avons de très bons joueurs. C’est vrai, l’absence de Krépin et l’incertitude autour d’Ismaïla, qui vient de nous rejoindre et n’est pas à 100%, qui sont des pertes conséquentes. Mais nous avons bien travaillé lors des premières semaines. Les autres n’ont pu nous rejoindre, mais cela ne nous a pas empêché de travailler sur nos schémas de jeu, parce qu’on avait le gros de l’équipe qui était là. Les autres retenus dans leurs clubs s’entrainaient régulièrement. Ils connaissent notre méthode de travail, notre philosophie de jeu. On n’est pas inquiet. Après, ce que nous déplorons, c’est la pandémie, le fait qu’on ne soit pas à 28 comme prévu, puisque nous avons d’autres qui sont restés à Dakar».
Etat d’esprit
«Nous préparons la compétition avec beaucoup de sérénité. C’est notre troisième Can, on a emmagasiné des expériences et des vécus ensemble, surtout avec les joueurs qui sont à leur quatrième Can. J’ai eu la chance en tant que joueur de l’avoir disputé deux fois (2002 et 2004). On sait que c’est une compétition difficile. Depuis deux ans, toutes les équipes se sont bien préparées. Depuis 2019, beaucoup de choses ont changé dans les effectifs. Tout le monde a à cœur d’être prêt pour la compétition. On va vers une Can très importante, très difficile, mais je crois que nous sommes outillés pour aller au bout.»
L’éloignement de Bangou
«On vient d’arriver. Nous découvrons aussi ce cadre. C’est vrai que les conditions de travail sont très bonnes. Nous sommes heureux d’être là d’autant plus que nous sommes les premiers à être arrivés. Petit à petit, nous découvrons notre environnement. Je pense que les garçons ont bien aimé. L’avantage est qu’on a la possibilité de rester ici jusqu’en huitièmes de finale, donc ce n’est pas négligé. C’est très important. La seule contrainte qu’on a, c’est peut-être le climat, l’altitude. À un moment donné, il faut s’acclimater rapidement et c’est ce que nous sommes en train de faire.»
Ambitions pour cette compétition
«C’est l’ambition de toutes les grandes équipes. Toutes les nations présentes au Cameroun veulent jouer pour gagner. On a envie de gagner cette compétition. Comme je l’ai dit, ça fait plus de deux ans que nous travaillons sur ça. On est prêt de la même façon que les autres grosses écuries. Nous faisons partie des favoris, surtout grâce à tous ce que nous avons accompli ces derniers temps, que ça soit la Coupe du monde 2018 ou la Can 2019. Nous sommes ambitieux et nous devons le montrer sur le terrain. C’est facile d’être favori sur le papier ou les paroles.»
Ismaïla Sarr
«Le cas d’Ismaïla a suscité beaucoup de débats. Il a été convoqué en équipe nationale du Sénégal, c’est normal qu’il puisse répondre à la convocation. Ce qui est important, c’est surtout la relation entre la Fédération, moi-même et le joueur. S’il est à 100%, Watford ne peut pas le retenir. La décision lui revient aussi. C’est un garçon honnête. S’il n’était pas apte, il allait prendre son téléphone pour me le dire. Il est là, nous sommes heureux de l’avoir parmi nous, même s’il ne sera pas au top lors de nos premiers matchs. Nous espérons le récupérer au cours de la compétition. Que Watford se rassure, qu’il comprenne que son joueur est dans de bonnes conditions. Nous avons un staff médical capable de l’aider à retrouver son niveau. Il a commencé la course.»
Kalidou Koulibaly
«Il a repris l’entraînement depuis trois à quatre jours (samedi). Il a de très bonnes sensations. C’est cette relation de confiance qui me lie à mes joueurs. Kouli, il est arrivé motivé. Sa rééducation s’est bien passée. Pendant une semaine, il a travaillé avec le préparateur physique et le staff médical. Il est vraiment prêt, on a espoir en tout cas contre le Zimbabwe.»
«On a voyagé en laissant derrière nous sept joueurs. Malheureusement, ils ne pouvaient pas se déplacer pour des raisons qu’on connait tous. La préparation à Dakar s’est bien passée pendant une grosse semaine, après on est allé chercher le drapeau national. Mais avant de décoller, on a fait des tests PCR sur place. Il s’est avéré que quelques membres du staff et de l’équipe sont positifs. Cela ne nous a pas empêchés de voyager. C’était une journée un peu longue, mais on est bien arrivés. Les garçons se sont bien reposés. Cet après-midi, on a pu faire notre première séance. Demain, on effectuera une autre séance. Le moral est au beau fixe. Nous espérons récupérer le reste du groupe d’ici la fin de cette semaine.»
Cas de Covid et blessés de la tanière
«Nous avons constitué une équipe depuis deux ans pour pallier les absences. Aujourd’hui, l’équipe nationale du Sénégal, en termes de qualité, de quantité, nous avons de très bons joueurs. C’est vrai, l’absence de Krépin et l’incertitude autour d’Ismaïla, qui vient de nous rejoindre et n’est pas à 100%, qui sont des pertes conséquentes. Mais nous avons bien travaillé lors des premières semaines. Les autres n’ont pu nous rejoindre, mais cela ne nous a pas empêché de travailler sur nos schémas de jeu, parce qu’on avait le gros de l’équipe qui était là. Les autres retenus dans leurs clubs s’entrainaient régulièrement. Ils connaissent notre méthode de travail, notre philosophie de jeu. On n’est pas inquiet. Après, ce que nous déplorons, c’est la pandémie, le fait qu’on ne soit pas à 28 comme prévu, puisque nous avons d’autres qui sont restés à Dakar».
Etat d’esprit
«Nous préparons la compétition avec beaucoup de sérénité. C’est notre troisième Can, on a emmagasiné des expériences et des vécus ensemble, surtout avec les joueurs qui sont à leur quatrième Can. J’ai eu la chance en tant que joueur de l’avoir disputé deux fois (2002 et 2004). On sait que c’est une compétition difficile. Depuis deux ans, toutes les équipes se sont bien préparées. Depuis 2019, beaucoup de choses ont changé dans les effectifs. Tout le monde a à cœur d’être prêt pour la compétition. On va vers une Can très importante, très difficile, mais je crois que nous sommes outillés pour aller au bout.»
L’éloignement de Bangou
«On vient d’arriver. Nous découvrons aussi ce cadre. C’est vrai que les conditions de travail sont très bonnes. Nous sommes heureux d’être là d’autant plus que nous sommes les premiers à être arrivés. Petit à petit, nous découvrons notre environnement. Je pense que les garçons ont bien aimé. L’avantage est qu’on a la possibilité de rester ici jusqu’en huitièmes de finale, donc ce n’est pas négligé. C’est très important. La seule contrainte qu’on a, c’est peut-être le climat, l’altitude. À un moment donné, il faut s’acclimater rapidement et c’est ce que nous sommes en train de faire.»
Ambitions pour cette compétition
«C’est l’ambition de toutes les grandes équipes. Toutes les nations présentes au Cameroun veulent jouer pour gagner. On a envie de gagner cette compétition. Comme je l’ai dit, ça fait plus de deux ans que nous travaillons sur ça. On est prêt de la même façon que les autres grosses écuries. Nous faisons partie des favoris, surtout grâce à tous ce que nous avons accompli ces derniers temps, que ça soit la Coupe du monde 2018 ou la Can 2019. Nous sommes ambitieux et nous devons le montrer sur le terrain. C’est facile d’être favori sur le papier ou les paroles.»
Ismaïla Sarr
«Le cas d’Ismaïla a suscité beaucoup de débats. Il a été convoqué en équipe nationale du Sénégal, c’est normal qu’il puisse répondre à la convocation. Ce qui est important, c’est surtout la relation entre la Fédération, moi-même et le joueur. S’il est à 100%, Watford ne peut pas le retenir. La décision lui revient aussi. C’est un garçon honnête. S’il n’était pas apte, il allait prendre son téléphone pour me le dire. Il est là, nous sommes heureux de l’avoir parmi nous, même s’il ne sera pas au top lors de nos premiers matchs. Nous espérons le récupérer au cours de la compétition. Que Watford se rassure, qu’il comprenne que son joueur est dans de bonnes conditions. Nous avons un staff médical capable de l’aider à retrouver son niveau. Il a commencé la course.»
Kalidou Koulibaly
«Il a repris l’entraînement depuis trois à quatre jours (samedi). Il a de très bonnes sensations. C’est cette relation de confiance qui me lie à mes joueurs. Kouli, il est arrivé motivé. Sa rééducation s’est bien passée. Pendant une semaine, il a travaillé avec le préparateur physique et le staff médical. Il est vraiment prêt, on a espoir en tout cas contre le Zimbabwe.»