Une délégation de la Caf a rendu visite aux Lions pour expliquer les règles de la compétition, surtout pour l’utilisation de la Var à partir des quarts de finale qui démarrent cet après-midi.
Comme lors de la Coupe du monde, la sélection nationale a reçu la visite d’une délégation de la Caf pour une séance d’imprégnation sur l’utilisation de la Var pour le match face au Bénin. Parmi le groupe d’arbitres, il y a Malang Diédhiou. Ils ont rappelé aux Lions les règles et aussi l’importance de cette Var. «Le football est devenu électronique. Il faut s’y adapter. Nous connaissons un peu les règles pour avoir été mondialistes. La Var dépend sur quel côté ça penche. A la Coupe du monde, elle n’a pas penché de notre côté. Pour d’autres, ils te diront que la Var est importante. C’est en phase test», a dit Aliou Cissé en conférence de presse. Et de poursuivre : «faisons confiance à nos dirigeants, même si le football doit rester ce qu’il a toujours été, c’est-à-dire fédérer. Un arbitre peut se tromper, c’est ce qui fait le charme du football. Il y a eu tellement d’injustices dans le football que les gens peuvent être amenés à penser autrement. C’est dans ce sens que la Var a été créée». Pour sa part, Salif Sané n’est pas trop fan de la Var. «Ça peut nous aider comme aussi nous pénaliser. On n’a pas le choix, on va faire avec. On ne va pas se fier à la Var, on va jouer notre football et montrer ce qu’est le Sénégal», déclare Sané.
Quand a-t-on recours à l’assistance vidéo ?
Trois principaux incidents (plus un quatrième d’ordre administratif) ont été identifiés comme pouvant changer le cours d’un match. BUT : Le rôle des arbitres assistants vidéo est d’aider l’arbitre à déterminer si une infraction à même d’invalider un but s’est produite. Si le ballon a franchi la ligne, le jeu est déjà interrompu et il n’y a pas d’impact direct sur le match. PENALTY : Le rôle des arbitres assistants vidéo est de veiller à ce qu’aucune décision clairement incorrecte ne soit prise au moment d’accorder – ou de ne pas accorder – un penalty. CARTON ROUGE : Le rôle des arbitres assistants vidéo est de veiller à ce qu’aucune décision clairement incorrecte ne soit prise au moment d’exclure – ou de ne pas exclure – un joueur. IDENTITÉ ERRONÉE : Le rôle des arbitres assistants vidéo est de veiller à ce que l’arbitre ne se trompe pas sur l’identité du joueur à avertir ou à exclure.
Comment fonctionne l’assistance vidéo ?
ÉTAPE 1 : Un incident se produit
L’arbitre informe les arbitres assistants vidéo ou ces derniers recommandent à l’arbitre qu’une décision/qu’un incident doit être analysé(e).
ÉTAPE 2 : Visionnage et recommandation
La séquence vidéo est analysée par les arbitres assistants vidéo, puis ils indiquent à l’arbitre via son oreillette ce que la vidéo montre.
ÉTAPE 3 : Décision ou action
L’arbitre accepte l’information des arbitres assistants vidéo et prend la décision appropriée, ou demande à visionner la séquence vidéo sur le bord du terrain avant de se prononcer.
Comme lors de la Coupe du monde, la sélection nationale a reçu la visite d’une délégation de la Caf pour une séance d’imprégnation sur l’utilisation de la Var pour le match face au Bénin. Parmi le groupe d’arbitres, il y a Malang Diédhiou. Ils ont rappelé aux Lions les règles et aussi l’importance de cette Var. «Le football est devenu électronique. Il faut s’y adapter. Nous connaissons un peu les règles pour avoir été mondialistes. La Var dépend sur quel côté ça penche. A la Coupe du monde, elle n’a pas penché de notre côté. Pour d’autres, ils te diront que la Var est importante. C’est en phase test», a dit Aliou Cissé en conférence de presse. Et de poursuivre : «faisons confiance à nos dirigeants, même si le football doit rester ce qu’il a toujours été, c’est-à-dire fédérer. Un arbitre peut se tromper, c’est ce qui fait le charme du football. Il y a eu tellement d’injustices dans le football que les gens peuvent être amenés à penser autrement. C’est dans ce sens que la Var a été créée». Pour sa part, Salif Sané n’est pas trop fan de la Var. «Ça peut nous aider comme aussi nous pénaliser. On n’a pas le choix, on va faire avec. On ne va pas se fier à la Var, on va jouer notre football et montrer ce qu’est le Sénégal», déclare Sané.
Quand a-t-on recours à l’assistance vidéo ?
Trois principaux incidents (plus un quatrième d’ordre administratif) ont été identifiés comme pouvant changer le cours d’un match. BUT : Le rôle des arbitres assistants vidéo est d’aider l’arbitre à déterminer si une infraction à même d’invalider un but s’est produite. Si le ballon a franchi la ligne, le jeu est déjà interrompu et il n’y a pas d’impact direct sur le match. PENALTY : Le rôle des arbitres assistants vidéo est de veiller à ce qu’aucune décision clairement incorrecte ne soit prise au moment d’accorder – ou de ne pas accorder – un penalty. CARTON ROUGE : Le rôle des arbitres assistants vidéo est de veiller à ce qu’aucune décision clairement incorrecte ne soit prise au moment d’exclure – ou de ne pas exclure – un joueur. IDENTITÉ ERRONÉE : Le rôle des arbitres assistants vidéo est de veiller à ce que l’arbitre ne se trompe pas sur l’identité du joueur à avertir ou à exclure.
Comment fonctionne l’assistance vidéo ?
ÉTAPE 1 : Un incident se produit
L’arbitre informe les arbitres assistants vidéo ou ces derniers recommandent à l’arbitre qu’une décision/qu’un incident doit être analysé(e).
ÉTAPE 2 : Visionnage et recommandation
La séquence vidéo est analysée par les arbitres assistants vidéo, puis ils indiquent à l’arbitre via son oreillette ce que la vidéo montre.
ÉTAPE 3 : Décision ou action
L’arbitre accepte l’information des arbitres assistants vidéo et prend la décision appropriée, ou demande à visionner la séquence vidéo sur le bord du terrain avant de se prononcer.