Les travailleurs et les visiteurs du parc García Lorca peuvent enfin pousser un ouf de soulagement. En effet, depuis plusieurs semaines, ils souffrent des attaques de colère d' un sans-abri qui squatte les lieux. D’origine sénégalaise, le déficient mental mène la vie dure aux visiteurs du parc. Après plusieurs plaintes de citoyens, il sera finalement arrêté par la police. Les services sociaux ont aussi décidé de s’impliquer dans l’enquête pour trouver une solution.
Il faut reconnaitre que la vie à l’étranger est loin d’être facile pour nos compatriotes. Arrivés souvent dans certains pays européens dans des conditions difficiles, ils sont confrontés à la dure réalité de la vie. Si certains parviennent à tirer leur épingle du jeu, ce n’est pas le cas pour tout le monde. Certains sont dans des activités délictuelles et essayent de survivre, d’autres, moins chanceux, sombrent carrément dans la dépression. Comme c’est le cas de notre compatriote arrêté à Granada, en Espagne. Le jeune homme, âgé d’une trentaine d’années, avait élu domicile dans le parc de Garcia Lorca. Et pendant plus de deux ans, il vivait dans un petit coin du parc. Seulement, ces derniers mois, il est devenu agressif, comme l’affirme Juan Antonio, l'un des jardiniers des lieux, interrogé par le site ideal.es.
A en croire les témoignages, l'individu a agressé deux femmes au cours des dernières heures qui ont précédé son arrestation, dont une employée de ménage, allant même jusqu’à cracher sur elle. «Il a aussi frappé un de mes collègues sur le bras», explique Juan Antonio. De plus, selon son témoignage, la situation de notre compatriote est si dangereuse qu’il dort avec des barres de fer et reste à l'entrée des vestiaires où l'on se change.
Le jardinier qui dénonce les faits assure que la police locale a dû intervenir à plusieurs reprises en raison de l'attitude de cette personne. «La semaine dernière, ils ont dû venir 3 ou 4 fois et nous sommes inquiets aussi parce qu'il crache et nous ne savons pas s'il a le coronavirus».
«L'homme avant était paisible. Il est venu, a nettoyé les mégots qu'il a trouvés et est resté ici», explique Juan Antonio. Mais même la pandémie de Covid-19 n'a pas pu l'arrêter, car il a continué à dormir dans le parc malgré son logement au Palais des Sports, en raison de la mesure prise par le Conseil municipal de Grenade d’y déplacer tous les sans-abris de la ville. «Il venait, sautait par-dessus la clôture et dormait. Cela ne nous a pas dérangés, mais maintenant nous avons peur», explique le travailleur. D’après le site ideal.es, des sources policières assurent qu'il a été détenu à plusieurs reprises et que des amendes lui ont été infligées, mais en se déclarant insolvable, aucune n'a eu d'effet. Il y a quelques semaines, les agents ont dû ouvrir une procédure pour destruction de matériel dans le parc d'une valeur de plus de 400 euros.
Khadidjatou DIAKHATE
Il faut reconnaitre que la vie à l’étranger est loin d’être facile pour nos compatriotes. Arrivés souvent dans certains pays européens dans des conditions difficiles, ils sont confrontés à la dure réalité de la vie. Si certains parviennent à tirer leur épingle du jeu, ce n’est pas le cas pour tout le monde. Certains sont dans des activités délictuelles et essayent de survivre, d’autres, moins chanceux, sombrent carrément dans la dépression. Comme c’est le cas de notre compatriote arrêté à Granada, en Espagne. Le jeune homme, âgé d’une trentaine d’années, avait élu domicile dans le parc de Garcia Lorca. Et pendant plus de deux ans, il vivait dans un petit coin du parc. Seulement, ces derniers mois, il est devenu agressif, comme l’affirme Juan Antonio, l'un des jardiniers des lieux, interrogé par le site ideal.es.
A en croire les témoignages, l'individu a agressé deux femmes au cours des dernières heures qui ont précédé son arrestation, dont une employée de ménage, allant même jusqu’à cracher sur elle. «Il a aussi frappé un de mes collègues sur le bras», explique Juan Antonio. De plus, selon son témoignage, la situation de notre compatriote est si dangereuse qu’il dort avec des barres de fer et reste à l'entrée des vestiaires où l'on se change.
Le jardinier qui dénonce les faits assure que la police locale a dû intervenir à plusieurs reprises en raison de l'attitude de cette personne. «La semaine dernière, ils ont dû venir 3 ou 4 fois et nous sommes inquiets aussi parce qu'il crache et nous ne savons pas s'il a le coronavirus».
«L'homme avant était paisible. Il est venu, a nettoyé les mégots qu'il a trouvés et est resté ici», explique Juan Antonio. Mais même la pandémie de Covid-19 n'a pas pu l'arrêter, car il a continué à dormir dans le parc malgré son logement au Palais des Sports, en raison de la mesure prise par le Conseil municipal de Grenade d’y déplacer tous les sans-abris de la ville. «Il venait, sautait par-dessus la clôture et dormait. Cela ne nous a pas dérangés, mais maintenant nous avons peur», explique le travailleur. D’après le site ideal.es, des sources policières assurent qu'il a été détenu à plusieurs reprises et que des amendes lui ont été infligées, mais en se déclarant insolvable, aucune n'a eu d'effet. Il y a quelques semaines, les agents ont dû ouvrir une procédure pour destruction de matériel dans le parc d'une valeur de plus de 400 euros.
Khadidjatou DIAKHATE