Assurer la plénitude de leurs responsabilités, en déclenchant les missions appropriées relevant de leurs prérogatives, relativement à la problématique du contrat signé entre Senelec et Akilee, voilà l’appel des cadres de la Senelec en direction des organes de contrôle de l’Etat comme la Cour des comptes, l’Ige, l’Ofnac, l’Armp. Dans une déclaration, ils se sont même engagés, relativement à l’orientation des protocoles d’intervention desdits organes, à (leur) fournir, avec une ferme intention, tout éclaircissement désiré sur ce contrat.
Le scandale né du contrat signé entre Senelec SA et Akilee SA à la date du 11 février 2019 pour un montant avoisinant 187 milliards de F Cfa ne risque pas d’être dépassé de sitôt. Preuve que cette affaire est partie pour occuper l’actualité des prochains jours, le Syndicat des cadres de Senelec, dans une déclaration, exige l’intervention des organes de contrôle de l’Etat que sont la Cour des comptes, l’Ige, l’Ofnac et Armp…«Le contrat visé en objet et qui porte sur le déploiement et l’exploitation d’un système de comptage intelligent pour Senelec SA» a installé la Société d’électricité du Sénégal (Senelec) sous les «feux de la rampe» et devant l’opinion publique. «En effet, vu sous les angles de la genèse, de la rédaction, de la signature, et de la réalisation des engagements contractuels réciproques, de nombreuses questions afférentes à la régularité et l’opportunité dudit contrat sont soulevées par divers acteurs impliqués directement ou indirectement», ont commencé par faire entendre Serge Louis Déthié Cissé et ses amis. Ils ajoutent qu’il est de l’intérêt de tout le monde de faire la lumière sur ces questions afin de lever toute équivoque et de rassurer tout un chacun sur les véritables enjeux et défis. «Le Sycas, placé sous le sceau du respect d’une triple exigence de transparence, vérité et action, exige des organes de contrôle de l’Etat (Cour des comptes, Ige, Ofnac, Armp…) d’assurer la plénitude de leurs responsabilités en déclenchant les missions appropriées et relevant de leurs prérogatives. Comme pour faire savoir que lesdits organes de contrôle ont déjà le soutien des cadres qu’ils sont, Serge Louis Déthié Cissé, le secrétaire général, font savoir que lui et ses camarades s’engagent, relativement à l’orientation des protocoles d’intervention desdits organes, à (leur) fournir, avec une ferme intention, tout éclaircissement désiré sur ce contrat. C’est vrai qu’ils sont tenus par le devoir de réserve, la discrétion professionnelle et le secret professionnel, mais pour cette affaire, le Sycas précise que ces trois (3) obligations demeurent inopposables aux organes de contrôle de l’Etat. Donc, la balle est dans le camp de ces organes.
Madou MBODJ
Le scandale né du contrat signé entre Senelec SA et Akilee SA à la date du 11 février 2019 pour un montant avoisinant 187 milliards de F Cfa ne risque pas d’être dépassé de sitôt. Preuve que cette affaire est partie pour occuper l’actualité des prochains jours, le Syndicat des cadres de Senelec, dans une déclaration, exige l’intervention des organes de contrôle de l’Etat que sont la Cour des comptes, l’Ige, l’Ofnac et Armp…«Le contrat visé en objet et qui porte sur le déploiement et l’exploitation d’un système de comptage intelligent pour Senelec SA» a installé la Société d’électricité du Sénégal (Senelec) sous les «feux de la rampe» et devant l’opinion publique. «En effet, vu sous les angles de la genèse, de la rédaction, de la signature, et de la réalisation des engagements contractuels réciproques, de nombreuses questions afférentes à la régularité et l’opportunité dudit contrat sont soulevées par divers acteurs impliqués directement ou indirectement», ont commencé par faire entendre Serge Louis Déthié Cissé et ses amis. Ils ajoutent qu’il est de l’intérêt de tout le monde de faire la lumière sur ces questions afin de lever toute équivoque et de rassurer tout un chacun sur les véritables enjeux et défis. «Le Sycas, placé sous le sceau du respect d’une triple exigence de transparence, vérité et action, exige des organes de contrôle de l’Etat (Cour des comptes, Ige, Ofnac, Armp…) d’assurer la plénitude de leurs responsabilités en déclenchant les missions appropriées et relevant de leurs prérogatives. Comme pour faire savoir que lesdits organes de contrôle ont déjà le soutien des cadres qu’ils sont, Serge Louis Déthié Cissé, le secrétaire général, font savoir que lui et ses camarades s’engagent, relativement à l’orientation des protocoles d’intervention desdits organes, à (leur) fournir, avec une ferme intention, tout éclaircissement désiré sur ce contrat. C’est vrai qu’ils sont tenus par le devoir de réserve, la discrétion professionnelle et le secret professionnel, mais pour cette affaire, le Sycas précise que ces trois (3) obligations demeurent inopposables aux organes de contrôle de l’Etat. Donc, la balle est dans le camp de ces organes.
Madou MBODJ