La décharge de « Mbeubeus » constutue un sérieux problème. Le ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique l’a fait savoir, ce dimanche, à l’émission Jury du dimanche sur Iradio (90.3). Toutefois, il est en train de travailler pour, dit-il, résoudre le problème du traitement des déchets solides.
Etayant ses propos, il parle de la mise en place d’un dispositif qui, à l’en croire, permet de passer du modèle de collecte des déchets connu depuis les indépendances à une démarche d’économie des déchets.
« Nous y travaillons avec la Banque mondiale. Le dossier qui doit être financé par la banque, la coopération espagnole et l’agence française de développement pour un montant de plus de 100 milliards doit passer d’ici la fin de l’année au conseil d’administration de la Banque mondiale. Et peut-être, l’année prochaine, nous commencerons à lancer les marchés pour avoir des zones avec des équipements, installations qui nous permettent de traiter, collecter, valoriser nos déchets comme cela se fait dans tous les pays du monde », se réjouit-il non sans annoncer que ce sera un changement très grand dans l’histoire des déchets au Sénégal.
Concernant le déchet plastique, il estime qu’il nécessite une mobilisation nationale parce que le plastique est une menace très forte sur l’environnement. « Il nous faut réorganiser notre schéma de valorisation qui nous permet de réduire la consommation et la production du plastique. Il faut une approche sur le comportement. Une politique de sensibilisation et d’organisation autour du plastique », soutient-il. Mieux, il renseigne que le programme zéro déchet est un long combat. Tout de même, il veut que dès l’année prochaine qu’il ait beaucoup de comportements qui changent dans notre cadre de vie.
Etayant ses propos, il parle de la mise en place d’un dispositif qui, à l’en croire, permet de passer du modèle de collecte des déchets connu depuis les indépendances à une démarche d’économie des déchets.
« Nous y travaillons avec la Banque mondiale. Le dossier qui doit être financé par la banque, la coopération espagnole et l’agence française de développement pour un montant de plus de 100 milliards doit passer d’ici la fin de l’année au conseil d’administration de la Banque mondiale. Et peut-être, l’année prochaine, nous commencerons à lancer les marchés pour avoir des zones avec des équipements, installations qui nous permettent de traiter, collecter, valoriser nos déchets comme cela se fait dans tous les pays du monde », se réjouit-il non sans annoncer que ce sera un changement très grand dans l’histoire des déchets au Sénégal.
Concernant le déchet plastique, il estime qu’il nécessite une mobilisation nationale parce que le plastique est une menace très forte sur l’environnement. « Il nous faut réorganiser notre schéma de valorisation qui nous permet de réduire la consommation et la production du plastique. Il faut une approche sur le comportement. Une politique de sensibilisation et d’organisation autour du plastique », soutient-il. Mieux, il renseigne que le programme zéro déchet est un long combat. Tout de même, il veut que dès l’année prochaine qu’il ait beaucoup de comportements qui changent dans notre cadre de vie.