Longtemps dans le viseur de Luc Nicolaï pour un combat royal contre Modou Lô, Tapha Tine a été finalement snobé par le Roc des Parcelles. Le géant de Baol Mbollo ne désespère pas pour autant et reste convaincu qu’il trouvera un adversaire de taille cette saison.
Après le désistement d’Ama Baldé à la dernière minute, Tapha Tine s’était vu proposer un combat contre le roi des arènes par Luc Nicolaï. Mais, comme le fils de Falaye Baldé, le Roc des Parcelles Assainies a finalement snobé le géant de Baol Mbollo. «C’est Modou Lô qui a fait capoter notre combat, mais Luc Nicolaï m’avait approché pour un duel», a laissé entendre Tapha Tine, qui souligne avoir reçu d’autres offres de combat. «Les promoteurs m’ont approché pour des combats, mais vous savez que la lutte se fait à deux. Aujourd’hui, si je voulais j’allais réclamé à Pape Abdou Fall mon argent, mais voilà. Il faut deux athlètes pour monter un combat et pour le moment, ce n’est pas encore le cas», explique le double tombeur de Yekini Jr, qui ne fait de fixation sur personne. «Je prendrai celui qu’on me proposera, mais à condition qu’il soit dans mes plans», ajoute-t-il.
«Les lutteurs savent qu’ils ne peuvent plus toucher de gros cachets»
Conscient des difficultés que traverse l’arène, les lutteurs commencent à s’adapter en revoyant leurs prétentions à la baisse. «Les lutteurs savent bien qu’ils ne peuvent plus avoir de gros cachets. La vie est dure et cela a affecté cette discipline. Nous espérons que cela va changer», explique Tapha Tine qui, interpelé sur l’exil des espoirs de l’arène, dit être en phase avec eux. «Depuis 2012, je me rends souvent aux États-Unis si je n’ai pas de combat, pour exercer dans d’autres activités. Une façon de gagner notre vie. Je comprends les jeunes qui sont là-bas, qui gagnent honnêtement leur vie».
«Nous avons une arène, donc on ne doit plus lutter dans les stades»
Concernant l’arène nationale qui n’accueille toujours pas beaucoup de combats à cause du coût de la location jugé trop élevé, Tapha Tine indique qu’il faudrait trouver des mesures d’accompagnement avec le retour des gros sponsors et surtout faciliter les choses aux promoteurs afin de redonner un nouveau souffle à ce sport. «Mais comme on en n’est pas encore là, l’arène en pâtit», glisse-t-il. Avec l’arène nationale, Tapha Tine pense qu’il ne faudrait plus continuer à squatter les stades. «Nous avons une arène, donc pour moi, on ne doit plus lutter dans les stades», conclut-il.
Après le désistement d’Ama Baldé à la dernière minute, Tapha Tine s’était vu proposer un combat contre le roi des arènes par Luc Nicolaï. Mais, comme le fils de Falaye Baldé, le Roc des Parcelles Assainies a finalement snobé le géant de Baol Mbollo. «C’est Modou Lô qui a fait capoter notre combat, mais Luc Nicolaï m’avait approché pour un duel», a laissé entendre Tapha Tine, qui souligne avoir reçu d’autres offres de combat. «Les promoteurs m’ont approché pour des combats, mais vous savez que la lutte se fait à deux. Aujourd’hui, si je voulais j’allais réclamé à Pape Abdou Fall mon argent, mais voilà. Il faut deux athlètes pour monter un combat et pour le moment, ce n’est pas encore le cas», explique le double tombeur de Yekini Jr, qui ne fait de fixation sur personne. «Je prendrai celui qu’on me proposera, mais à condition qu’il soit dans mes plans», ajoute-t-il.
«Les lutteurs savent qu’ils ne peuvent plus toucher de gros cachets»
Conscient des difficultés que traverse l’arène, les lutteurs commencent à s’adapter en revoyant leurs prétentions à la baisse. «Les lutteurs savent bien qu’ils ne peuvent plus avoir de gros cachets. La vie est dure et cela a affecté cette discipline. Nous espérons que cela va changer», explique Tapha Tine qui, interpelé sur l’exil des espoirs de l’arène, dit être en phase avec eux. «Depuis 2012, je me rends souvent aux États-Unis si je n’ai pas de combat, pour exercer dans d’autres activités. Une façon de gagner notre vie. Je comprends les jeunes qui sont là-bas, qui gagnent honnêtement leur vie».
«Nous avons une arène, donc on ne doit plus lutter dans les stades»
Concernant l’arène nationale qui n’accueille toujours pas beaucoup de combats à cause du coût de la location jugé trop élevé, Tapha Tine indique qu’il faudrait trouver des mesures d’accompagnement avec le retour des gros sponsors et surtout faciliter les choses aux promoteurs afin de redonner un nouveau souffle à ce sport. «Mais comme on en n’est pas encore là, l’arène en pâtit», glisse-t-il. Avec l’arène nationale, Tapha Tine pense qu’il ne faudrait plus continuer à squatter les stades. «Nous avons une arène, donc pour moi, on ne doit plus lutter dans les stades», conclut-il.