L’avocat et conseiller politique français a livré sa part de vérité sur les dernières manifestations au Sénégal. Robert Bourgi déplore les saccages, pillages, les institutions ciblées de même que les personnalités politiques et religieuses.
Invité de l’émission Grand Jury sur la Radio futurs médias (RFM) ce dimanche, le spécialiste des questions africaines affirme que le président de la République Macky Sall fait l’objet d’une machination au niveau international. « Il y’a un complot international mené contre le président Macky Sall et l’État Sénégalais. J’ai vu des vidéos où les forces de l’ordre cherchent à répondre aux assaillants qui avaient été formés car, ils n’ont pas ce sens spontané de la dispersion et de l’encerclement des forces de défense et de sécurité », a déclaré Robert Bourgi en confirmant qu’il y’a des gens qui ont pris le temps d’entraîner ceux qu’il appelle « assaillants ».
Pour le conseiller politique français, les propos du leader de Pastef lors de sa caravane de la liberté. « Comment dans un pays, un chef de l’opposition peut dire, qu’il donne rendez-vous pour aller au palais et déloger le président », se demande Robert Bourgi qui profitera de la même tribune des confrères de Gfm, pour manifester son incompréhension de la décision de « maintenir Ousmane Sonko chez lui ».
Invité de l’émission Grand Jury sur la Radio futurs médias (RFM) ce dimanche, le spécialiste des questions africaines affirme que le président de la République Macky Sall fait l’objet d’une machination au niveau international. « Il y’a un complot international mené contre le président Macky Sall et l’État Sénégalais. J’ai vu des vidéos où les forces de l’ordre cherchent à répondre aux assaillants qui avaient été formés car, ils n’ont pas ce sens spontané de la dispersion et de l’encerclement des forces de défense et de sécurité », a déclaré Robert Bourgi en confirmant qu’il y’a des gens qui ont pris le temps d’entraîner ceux qu’il appelle « assaillants ».
Pour le conseiller politique français, les propos du leader de Pastef lors de sa caravane de la liberté. « Comment dans un pays, un chef de l’opposition peut dire, qu’il donne rendez-vous pour aller au palais et déloger le président », se demande Robert Bourgi qui profitera de la même tribune des confrères de Gfm, pour manifester son incompréhension de la décision de « maintenir Ousmane Sonko chez lui ».