Le président de la République, Macky Sall a, lors du dernier conseil des ministres, donné des instructions relatives à, la relance effective, dans les meilleurs délais, des activités de l’usine pharmaceutique MEDIS SENEGAL SA (ex-Sanofi). Une décision très bien accueillie par les employés de cette structure qui, depuis six mois, sont dans la galère. D’ailleurs, ils comptent tenir une conférence de presse ce mardi, 21 juillet, pour se prononcer sur la situation de l’entreprise et sur les négociations entre l’Etat du Sénégal, la Direction générale et les représentants du personnel.
En prélude à cette rencontre, Nicodème Ngom, délégué du personnel Médis Sénégal a expliqué à Emedia les exigences qu’ils (les employés) mettent sur la table pour la relance des activités de cette usine. « On a suivi l’annonce du président de la république. C’est une très bonne nouvelle qu’il faut concrétiser. Cela va entrer dans la souveraineté pharmaceutique », a déclaré Nicodème Ngom.
Cependant, il indique que les négociations entre les employés et la direction de l’entreprise n’avancent pas. Ce, parce que, explique-t-il, la direction est restée sur sa position qui consiste à envoyer certains employés en chômage technique et à réduire les salaires des travailleurs de 50%. « Nous refusons cette proposition. La direction nous doit six mois d’arriérés de salaires, il faut qu’elle nous les paie. Qu’on ne touche pas à nos salaires et avantages déjà acquis. En plus, il faut qu’on reprenne tous les employés qui ont été remerciés », a plaidé M. Ngom non sans informer que les travailleurs sont dans les dispositions de reprendre le travail.
Dans le même sillage, il a demandé à l’Etat d’augmenter sa part dans le capital de l’entreprise. Cela lui permettra d’avoir un contrôle sur les activités de l’entreprise et sur les prix des médicaments qui sont fabriqués. Il faut rappeler que cette entreprise fabrique des médicaments tels que : paracétamol, phénobarbital, parégorique, terpine, paluject, aspirine, fer, acide folique, doliprane, sirop, bronkirex...
En prélude à cette rencontre, Nicodème Ngom, délégué du personnel Médis Sénégal a expliqué à Emedia les exigences qu’ils (les employés) mettent sur la table pour la relance des activités de cette usine. « On a suivi l’annonce du président de la république. C’est une très bonne nouvelle qu’il faut concrétiser. Cela va entrer dans la souveraineté pharmaceutique », a déclaré Nicodème Ngom.
Cependant, il indique que les négociations entre les employés et la direction de l’entreprise n’avancent pas. Ce, parce que, explique-t-il, la direction est restée sur sa position qui consiste à envoyer certains employés en chômage technique et à réduire les salaires des travailleurs de 50%. « Nous refusons cette proposition. La direction nous doit six mois d’arriérés de salaires, il faut qu’elle nous les paie. Qu’on ne touche pas à nos salaires et avantages déjà acquis. En plus, il faut qu’on reprenne tous les employés qui ont été remerciés », a plaidé M. Ngom non sans informer que les travailleurs sont dans les dispositions de reprendre le travail.
Dans le même sillage, il a demandé à l’Etat d’augmenter sa part dans le capital de l’entreprise. Cela lui permettra d’avoir un contrôle sur les activités de l’entreprise et sur les prix des médicaments qui sont fabriqués. Il faut rappeler que cette entreprise fabrique des médicaments tels que : paracétamol, phénobarbital, parégorique, terpine, paluject, aspirine, fer, acide folique, doliprane, sirop, bronkirex...